Peut on être libre et obéir ?

Être libre dans l’inconscient collectif c’est de pouvoir agir comme nous le voulons, sans aucune limite et sans contrainte. Nous sommes tous nés avec le libre arbitre qui nous permet de penser et de nous diriger selon notre volonté, ce qui nous différencie des êtres non-vivants comme les intelligences artificielles, grâce à cette capacité nous sommes conçu sans obéir à des contraintes.

Obéir étant l’inverse de se que l’on fantasme de la liberté, c’est se soumettre à des lois, des forces, des individus, des contraintes, exécuter une action sans avoir à utiliser sa raison et son esprit critique, c’est même ça l’obéissance, on ne demande pas de réfléchir mais d’agir à ce qui a déjà était pensé par un tiers ou par l’univers. Obéir ce n’est plus satisfaire ses désirs, ce n’est plus être libre.

Être libre et obéir semble alors complètement opposés, et par conséquence inconciliable.

Pour être libre il faut ne plus obéir à rien peut on alors penser. Mais on ne peut pas. Dès le début de notre existence nous sommes soumis à des lois physique comme la gravité, des lois biochimiques comme notre enveloppe corporelle, des lois chimiques comme le besoin de nutriments. Même si on essaye de pallier à ces contraintes avec des avions pour voler, du plaisir dans l’alimentation pour absorber des nutriments, nous restons obliger d’obéir, de nous soumettre, et souvent d’accepter ces limites que ne voulons franchir avec les sciences et la technologies, afin de nous sentir plus libre de réaliser nos désirs et nos rêves.

Les rêves sont le seul endroit où nous sommes vraiment libéré des lois, c’est un monde sans limites utopique qui n’est réel que dans nos souvenirs pour le plus grand nombre, les rêves sont d’ailleurs pur création de l’inconscient et non de la raison qui elle, est influencé par l’imaginaire et par le monde contraignant qui nous entoure.

Nous devons aussi respecter avec consentement ou non des règles morales et éthiques, tout comme des lois de l’Homme, nous ne devons pas faire des actes immorales, socialement incorrects et illégaux, même si nous ne désirons pas nous soumettre à ces obligations, pour se qui est de la moral, chacun se soumet à des contraintes volontairement ou non. Cela reste à nuancer, il ne faut pas dire que nous ne pouvons pas car il est possible de le faire en enfreignant les lois et les codes moraux, en opposition aux contraintes naturelles que nous pouvons franchir avec la difficulté de se mettre en symbiose avec ces contraintes pour mieux les contourner. Les lois n’interdiront pas se qui ne peux pas être réalisé, tout comme elles n’obligent pas à faire une chose que tout le monde fait. Ne pas obéir aux lois humaines mais aussi ne pas faire ce qu’elles demandent nous exposes à des sanctions prévu pour tenter de faire respecter les lois. Alors que les lois naturelles nous n’avons pas le choix.

Nous avons aussi d’autres limites, comme la société, beaucoup de peuvent pas réaliser leurs rêves dût à leurs cultures, et à leurs moyens financiers. Plus on possède d’argent, plus nous pouvons réaliser nos désirs, consommer, nous faire plaisir dans cette société d’argent et de plaisir. L’argent aide donc forcement à la liberté, et ne pas en posséder assez s’avère être une limite à notre liberté.

Ce qui est « arbitraire », est ce qui dépend de la volonté d’une autre personne que soit , ce mot est souvent employé de façon négative, pour imposer sans « raison ». On dira« arbitraires » toutes les contraintes qui sont ne sont pas nécessaires, tels des ordres ou des lois.

Les contraintes comme notre corps et les les besoins naturelles ou non sont une contrainte. 

Tout ce qui relève de l’hygiène et de la préservation de la santé constitue un ensemble de contraintes nécessaires, naturelles et donc on peut les dires non opposées à la liberté. En revanche même ce qui provient de notre propre corps comme les addictions , constitue des contraintes qui nous font souffrir inutilement et qui restreins notre liberté de raisonner et d’agir. Il existe aussi beaucoup de contraintes qui peuvent sembler arbitraires individuellement, mais qui ne le son pas pour le bien commun, toute celles qui réduisent notre liberté afin de permettre aux autres de jouirent de la leur, si nous prenons le vole, cet acte est dût à la contrainte de l’argent, nous désirons un objet que nous ne pouvons avoir ou que nous ne trouvons pas la nécessité de payer, voler permet donc de choisir librement ce que nous désirons sans l’avoir mériter d’après les règles de la société, pour le voleur cela lui permet de s’affranchir de ces contraintes et donc d’augmenter sa liberté, mais, pour la personne volé cela est perçu comme une injustice, et cette anarchie lui enlève ainsi sa liberté. C’est pour le bien commun que la société choisit les libertés interdites et les libertés dont on peut jouir.

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