Paragraphe argumente de britannicus

Racine crée la pitié et la crainte chez ses spectateurs par l’hypotypose et crée cette scène très réaliste, racontée par Albine.

Racine crée cette hypotypose par le dialogue avec Agrippine. On voit déjà dans la première phrase qu’il s’agit d’une scène très importante car Albine, qui normalement est dans une situation d’infériorité envers Agrippine, utilise les verbes : » courez « (l.1) qui est à l’impératif et donc qui donne un ordre à Agrippine. Elle doit sauver son fils qui lui veut peut-être se suicider.

Ensuite Albine utilise le champ lexical de la mort dans la ligne 6 « sans mourir, elle est morte pour lui » elle parle de Junie qui est en train de partir pour plus jamais revoir Néron et Albine précise ces actions avec plusieurs adjectif « chemin écarté », « pas précipité » et « sort éperdue ». Cela nous donne l’impression de vivre avec eux l’action car ils sont détaillés et précis.

A partir de du paragraphe 12 racine crée de la pitié car Albine explique que Junie pleur devant la statue d’Auguste « d'abord elle a d'Auguste aperçu la statue et mouillant de ses pleurs le marbre de ses pieds » de plus ce moment de pitié est renforcé car Albine dit qu’elle le sert dans ses bras « Que de ses bras pressants elle tenait » car elle est désespérée. Cela nous conduit au prochain moment de pitié car Junie pleur a cause de la mort de Britannicus qui pour elle était le seule bon empereur mais comme il est mort elle espère qu’il reste un bon homme.

Dans les prochains paragraphe l’hypotypose est crée par la description du peuple qui entoure Junie pour la protéger. Racine utilise une hyperbole car il dit que « Le peuple cependant, que ce spectacle étonne, vole de toutes parts, se presse, l'environne, ».

Dans les deux prochains paragraphe la pitié est provoque chez le spectateur car Albine utilise le camp lexical de la tristesse car elle dit « S'attendrit à ses pleurs, et plaignant son ennui, d'une commune voix la prend sous son appui. »

Comme dans toutes les tragédies on doit savoir ce qui se passe pour caque personnage a la fin. Ces destins des personnages sont racontés par Albine. Junie part dans le temple, Britannicus est mort et Néron essaie de rattraper Junie « Narcisse, plus hardi, s'empresse pour lui plaire : Il vole vers Junie, et sans s'épouvanter » mais ne réussit pas de combatte le peuple (ce qui est très rhétorique car il est normalement empereur) et il est frappe « De mille coups mortels, son audace est punie » par le peuple. Cet évènement provoque la crainte chez les spectateurs car tout son sang éclate sur Junie.

Cela montre à Néron que Junie est devenu intouchable et donc il rentre déprimé car son seul but « Junie « vient de partir et il n’ose même pas regarder le ciel car on le jugerait. Albine utilise des mots très pessimiste dans les prochains paragraphe « mal assurés » « craint et solitude » « l'inquiétude » … pour faire comprendre à Agrippine qu’il ne reste pas beaucoup de temps jusqu’à ce que Néron se suicide. Albine fait ensuite une répétition car elle redit « courez « envers sa chef, Agrippine qui est la seule a pouvoirs sauver Néron. Mais Agrippine répond seulement « Il se ferait justice » et cela crée également de la crainte car on parle d’un suicide.

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