Mémoire d'Hadrien

Séquence 3

Texte 3

Première impression :

Idée de distance d’Hadrien envers sa propre mort, mort apaisé.

Homme en train d’entré dans la mort.

Méditation sur la vie et la mort, il y a une nature profonde, une essence en lui que le temps n’a pas fait disparaitre.

L 1-10 : Position de l’observateur

L 10-20 : Nature profonde qui demeure en lui. Tous ces “Moi” qui ne font qu’un.

L 20-29 : Méditation sur la vie et la mort.

Pb: En quoi ce moment constitue-t-il une culture interrogative sur lui-même ?

L 1 : “J'observe ma fin” => il regarde sa fin comme un objet d’étude.

“Clinique” => Dimension froide, étudie sa mort de la vue d’un médecin

L 4-9 : Rapport avec l’architecture pour exprimer son impression, une nature profonde qui existe est que le temps n’a pas modifier.

Notre visage change avec l'âge mais nous restons reconnaissables.

“monument” => connotation a la résistance qui a traversé le temps.

“crevasse” => dégât superficielle que le temps cause, il reste tout de même qlq chose qui persiste.

L 10 : Rythme binaire => aspect inébranlable

L 10 : plusieurs personnages associaient à des moments emblématiques/clés de la vie d'Hadrien défiles, sa suis la chronologie de sa vie.

L 10-11 : l’enfance, la période militaire, deux versions de lui-même a des époques différentes.

Enfance = “jardin d'Espagne” => connotation solaire méditerranéen ≠ cote austère “l’officier ambitieux”

L 12 : “flocons de neige” => appartiens au passé, oublie, destruction.

L 14 : “bucher” => destruction totale

--> cette idée de destruction est réfutée avec l’antithèse “Ils sont anéantis mais ils sont là”  

L 15 : le défilé des personnages continue

Evocation pathétique (mort de l’être aimer)

“L’homme, un mort” => nom commun comme si Hadrien ne l’avait jamais connue.

L 16-20 : le narrateur se détourne de la vie, il contemple la mort dans là qu’elle y va entrer.

“Calme plus ou moins qu’humain” => il commence à franchir le seuil de la mort

Oxymore du voyageur, il ne voyage plus.

L 19 : “à jamais sédentaire” => il ne voyagera plus c’est définitif.

Il emploie le passé simple parce-que c’est le temps d’un passé révolu/définitif.

 L 20 : “Force” => qlq chose d’abstrait, son identité est en train de se dissoudre dans la mort.

L 20-21 : “force” => une énergie en lui capable de de vivre bcp plus.

“instrumenter”, métaphore musicale => force psychique qui va se réincarner.

L 22-26 : il réfléchit encore à la signification de sa vie.

L 22-26 : Il n’a pas gagné en sagesse, les vieux ont les mêmes défauts que les jeunes.

Répétition de “même” => il n’a pas gagné en maturité.

L 25 : Métaphore “olympes” et “enfers” désigne les plaisirs que la vie lui a offert et renvoie aux erreurs qu’il a commis dans sa vie.

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