Mais quelle idée! Pascal Brissy, Dider Jean et Zad

Je n’aime pas la couverture du livre car je trouve que les couleurs vive comme le rouge, le bleu, le jaune et le vert sont trop prononcées et saturées. Le titre du livre intrigue sur l’histoire du casque car il ne faut pas oublier ce qui c’est passé dans le passé.

J’aime les illustrations du livre mais je trouve qu’il y a trop d’informations ce qui pourraient embrouiller les enfants car les dessins partent un peu dans tous les sens. Les couleurs foncées sont très bien adaptées pour des enfants car ils sont attirés par ceux-ci.

Je n’ai pas aimé l’histoire parce que je n’aime pas comment la guerre est expliquée, je trouve que cette histoire est un peu dure parce que la guerre est expliqué avec les bombes, etc. et je pense que les enfants peuvent peut être prendre peur.

Le texte et les phrases sont trop longues par exemple « s’ils battent toujours les cartes entre deux attaques c’est avant tout pour oublier, le temps d’une partie, le terrible jeu de casse-pipe qui se joue la haut. » Il y a des mots compliqués mais ils sont expliqués par exemple « mobilisation général ».

b) Mais quelle idée !

Pascal Brissy, Didier Jean et Zad

Le titre « Mais quelle idée » nous interroge sur le sujet don va parler. La couverture du livre m’a beaucoup intrigué car elle est vraiment attirante avec les couleurs utilisées comme le violet, le brun, ainsi l’écureuil sur la couverture qui nous indique le sujet.

Les illustrations sont très expressives et colorées pour allier les émotions, la tristesse de la situation et la beauté des paysages qui évitent d’être trop dans la douleur

La typographie est adéquate, les phrases sont ni trop longues ni trop courtes, ainsi que le vocabulaire est adapté aux enfants.

Tibelle, à sa façon, va lutter symboliquement contre la mort. Les personnages sont chouettes, c’est une belle famille d’écureuil, cela montre l’exemple d’une famille soudée aux enfants, lors d’un problème familiale. Montrer que la famille sera toujours là pour nous aider. Il y a une très belle relation qui existe entre Tibelle et son grand-père et nous montre que dans les moments douloureux existe aussi le bonheur et l’espoir.

C’est un fabuleux travaille sur la compréhension des enfants concernant le sens propre et le sens figurer.

Un très chouette album pour parler de la mort aux petits. Je trouve que l’auteur a réussi à parler du décès du papi avec des mots vrais, sans cacher la vérité, tout en y réussissant à glisser une jolie pointe d’humour.

c) Mireille

Anne-Fleur Drillon, Éric Puybaret

La couverture du livre m’intrigue avec les couleurs pastel utilisées et cette illustration d’une hirondelle et d’un monsieur.

J’ai aimé cette histoire qui est basée sur les aventures d’un jeune garçon et d’une hirondelle.

Je n’ai pas aimé les illustrations car je trouve qu’elles sont trop compliquées pour des enfants, elles sont un peu fouillis.

Je n’ai pas aimé non plus les phrases

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