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Lettres persanes réecriture

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Par   •  14 Mars 2016  •  Lettre type  •  981 Mots (4 Pages)  •  684 Vues

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Paris, le samedi 14 novembre 2015

Ashkan à Babak, à Paris

                   Tu vois mon cher Babak, Paris n'est pas comme je l'avais imaginé. Certes c'est une ville dite « fascinante », une ville pleine de culture, qui est connu pour sa haute-couture, sa gastronomie, ses spectacles et la liste est longue. Je suis à présent comme tu l'a bien compris arrivé à Paris. À

peine franchis le seuil de cette chère ville et comme une tension régné, à chaque endroit les personnes sont abasourdis, effondrés. Chacun se méfie de l'autre. Je n'est pas connu Paris comme ça. Paris est une ville joyeuse, une ville qui bouge, je n’arrivai pas à comprendre cette situation, j'ai donc demandé à un passant si j'étais bien à Paris, il commence à me dévisager et puis part sans même me répondre, il avait une tête d'enterrement, peut-être que sa copine l'a quitté. Ce n'est pas la chose la plus importante, le plus impressionnant dans Paris sont les soldats, les militaires qui rodés, tout était sécurisé, vérifié rien ne leurs échappés. Je ne comprenais toujours pas ce qui à bien pu se passer. J'avais l'impression d'être seul sur terre, je devenais fou, et les questions se multipliés dans ma tête. Pourquoi tant de peine ? Pourquoi tant de militaires ? C'est à cause de moi ? Avant, Paris bougé, il y avait beaucoup de trafic tout le monde se bousculé pour ne pas être en retard au travail, les enfants couraient, s'amusaient et quand je suis arrivé, plus rien plus personne. Je l'ai effraye peut-être. Ça se voit tant que ça que je viens d'ailleurs ? Je suis pourtant un humain comme eux. Je n'ai fais de mal à personne, j'avais l'impression qu'on allait m’arrêter d'un moment à l'autre, il y a peut-être beaucoup de sécurité mise en place pour le bien de la ville mais pour moi cette sécurité était contre moi, elle était la pour me faire quitter la ville au plus vite. Ils me regardent tous, sans exception, je suis peut-être trop bien pour eux, je dois leur plaire, où c'est la première fois qu'ils voient un homme aussi beau ! Je décide d'aller voir les militaires, ils commencent à brandir leur armes sur moi et crie : « Mains en l'air » je ne comprends pas, j’exécute donc leur ordre sans même dire un mot, ils commencent à me fouiller et me jettent au sol tel un animal sans défense et demandent mes papiers, tout souriant et fière de leur donner ce qu'ils me demandent, je cherche mes papiers dans ma poche et j'entends crié : « Terroriste, attention il y a un terroriste !! », les militaires me prenne et me claque très fortement sur une voiture, et me fouille, je préfère ne rien dire pour ne pas que la situation dégénère,  ils constatent que je n'ai rien et après une heure de vérification il me laisse enfin partir. Je marche en regardant le sol et vois des impacts de balle, des flacs de sang, normalement quand il pleut c'est de l'eau pas du sang. J'arrive près d'une terrasse, tout est cassé. Faudrait dire aux parisiens que l'alcool est à modération. Une vielle dame du haut de sa fenêtre me dit : « Rentre chez toi ce n'est pas prudent de rester ici. ». Assez étrange elle me parlais mais ne me regardais pas, elle était cacher derrière son rideau, une blague sûrement. J'arrive dans une rue, tout est calme, tout est vide, aucune voiture je regarde autour de moi je vois du sang de partout même sur les murs comme si un boucher avait couper sa viande à cette endroit. Pourquoi il y a du sang à certain endroit et pas ailleurs ? Il y a eu la troisième guerre mondiale et personne me préviens ? Je voulais savoir, il y avait une femme qui promené son chien au bout de la rue j'ai couru pour la rattraper et crié « Madame!Madame ! » plein de panique elle est parti en courant. Les habitants de Paris sont si mesquins, tu leur poses une question ils te prennent de haut, tu les appelles ils partent en courant, et quand ils te parlent ils ne te regardent même pas, c'est peut-être parce que je suis un « Terroriste ! ». En quoi mon visage où même mes vêtements font de moi un terroriste ?

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