Les châtiments, Victor Hugo
Commentaire de texte : Les châtiments, Victor Hugo. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar louise2510 • 27 Janvier 2018 • Commentaire de texte • 931 Mots (4 Pages) • 1 044 Vues
11/10/2017
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Note Remarque
Commentaire
Ultima verba est tiré de les Châtiments de Victor Hugo, il est le dernier écrit du livre VII publier en 1853. ce poème met en valeur l'opinion du poète par rapport a la proposition de pardon de Napoléon III. En effet Victor Hugo a été Bannit de la France pour avoir tenter d’empêcher le coup d'état du 2 décembre 1851. On peut alors ce demander en quoi le statu de poète exilé permet a Victor Hugo de convaincre les français de résister .nous verrons tout d'abords le statue de poète exilé puis le plaidoyer qu'il nous dresse.
Victor Hugo étant un poète exilé a jersey a un statue particulier, en effet il détient le pouvoir des mots comme appuyé par le champs lexical de l'oralité «voie, dit, insulte, bouche,... ». Ce pouvoir lui confère le droit de rassembler, de critiquer ou glorifier comme illustrer dans la première strophe avec « J 'attacherai la gloire[…] Je jetterai,... ». Ce statue de poète exilé lui permet aussi de se lamenter et exprimer sa douleur ce qui est mit en valeur dans le poème grâce a l'utilisation du registre élégiaque des vers 14 à 16 et avec l'apostrophe « ô France ». Mais le poète est Homme qui est ,lui aussi, tenter par la proposition de Napoléon car il rêve de revenir en France et d'y retrouvé le « nid de mes amours » et le «Tombeau de mes aïeux » cette idée est appuyer par la phrase « Je ne reverrai pas ta rive qui nous tente ». Bien qu'il soit tenter Victor Hugo ne peut pas succomber car son statue de poète l'oblige à s'opposer et a résister, il est un porte parole de l'humanité cette idée est illustré par par le vers 24 « Et si plusieurs s'en vont qui devraient demeurer » et 28 « et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-la ! » qui sous-entend que le poète est le seul qui restera et résistera. Victor Hugo se présente comme un martyre qui ce sacrifie pour sa patrie et ses opinons, pour lui c'est une obligation on le voit notamment avec le vers 18 « hors le devoir, hélas ! j'oublîrai tout. » Le poète affirme cette position avec beaucoup de détermination comme par exemple dans le vers 20 .« je resterais proscrit, voulant rester debout » avec l’hémistiche qui appuie la détermination par le rythme du poème et la répétition de « rester » et de « vouloir » qui traduit la détermination de Victor Hugo. Le poète exilé est donc le représentent des bannis, leurs porte parole et il décide de s' opposé a Napoléon III et sa proposition.
Le poème répond à la rumeur d'amnistie proposée par Napoléon III aux proscrits qui reviendraient en France. Hugo fait ici allusion à ce « piège » qui peut faire vaciller des volontés moins fortes, et peut-être même la sienne… Victor Hugo utilise le vocabulaire religieux comme par exemple vers 1 « culte » pour mettre leur lutte a un niveaux divin. Le Poète rassemble tout les bannis et les glorifies « Mes nobles compagnons ». il compare leur lutte a une lutte historique et intemporelle. Il la compare tout d'abord a celle des prophètes lors du massacre des juifs lorsqu'il écrit « je serais , sous le sac de cendre qui me couvre » vers 5. il compare Napoléon III au rois de France au vers 7 « tes valet te montreront ton Louvre » puis a César vers 8. En inscrivant leur lutte dans l'histoire le poète lui donne de la valeur et la justifie. Victor Hugo utilise le dialogue, comme si le poète entrait en conversation avec un interlocuteur fictif. C’est un dialogue sous-jacent. « Oui » est une reprise de « je te montrerai », « je croiserai ». Anaphore de « je ne reverrais pas ta » au vers 15 et 17 ou il s’adresse au français pour les encourager dans une lutte patriotique. Mais Victor hugo leur montre aussi qu'il n'a pas besoin d'eux dans le mouvement final de la dernière strophe est il y a un désignation successive des proscrits dans le poème, la relation de Hugo avec eux étant marquée par un détachement progressif. il passe à une certaine individualisation,« si quelqu’un a plié », au vers 23 et marque la distance instaurée avec ceux qui ont « plié » par le pronom indéfini « on » au vers 25. On peut donc dire que Victor Hugo est justifie sa lute et encourage les français a faire pareil même si il prétend pouvoirs luter seul.
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