Les ambiguïtés de la société
Fiche : Les ambiguïtés de la société. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Doc Planet • 15 Mars 2018 • Fiche • 422 Mots (2 Pages) • 555 Vues
2017/2018
DG6
Culture Générale
Actuellement nous vivons dans une époque où cosommer est devenue plus que nécéssaire à la survie d'une personne. C'est pourquoi nous essaierons de comprendre comment les ambiguités de la société sont -elle traduites aux travers de ces différents documents. Nous étudierons un article du journal Libération " Dis-moi ce que tu consommes, je te dirais qui tu es" datant du 31 octobre 2005, un essais de Sophie Peters avec "Marques et banlieues, des liaisons dangereuses" du 24 novembre 2005, ainsi qu'un sondage de Louis-Harris, pour Libération dont le sujet est la percepetion globale de la société de consommation datant du 29 et 30 octobre 2005. Pour cela nous étudierons la perte d'identité de l''individu face à cette société de consommation, le "plaire et montrer pour exister" et finiront par ses conséquences.
Tout d'abord nous pouvons voir dans l'article du journal libération que l'identité du consommateur se fragilise grâce à la consommation qui incite le désir et non plus l'utilité. L'objet devient donc un moyen d'exister, et de s'affirmer émotionellement à travers une société, ou un groupe social. La consommation est devenue une "thérapie" , c'est pourquoi le consommateur se voit raccrocher au jupons de la société. Cette société devient vide de sens et se raccroche à la consommation. Par ailleurs dans le texte de Sophie Peter nous pouvons voir que porter des marques dans un milieu tel que la banlieue engendre une identité autre que celle du consommateur et permet de le faire exister, car ce qui augmente son desir consommer. Ainsi les marques deviennent un signe de valorisation social et créé donc un besoin constant de consommer.
En effet cette consommation engendre différentes conséquences. Elle est d'une part dangereuse, car le consommateur se retrouve esclave de la consommation. Comme le démontre le sondage de Louis-Harris, du journal Libération la société nous pousse à consommer d'avantage. En effet avec l'impact des médias omniprésent dans notre vie quotidienne, ainsi que les différents moyens de difusion permmettent de vendre ce monde de rêve qui incite le consommateur à acheter. Il démontre qu' il existe une contradition entre ce que le consommateur pense et ce qu'il fait. Il ne sait plus distinguer ce qui est bien ou non pour lui. D'autre part le désir relève d'un vide psycologique, que l'on tente de combler constamment, par des objets. C'est pour cela que nous pouvons constatez que la consommation peut-être une véritable thérapie.
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