Lecture analytique ariettes oubliées 3
Commentaire de texte : Lecture analytique ariettes oubliées 3. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Momoy9 • 22 Juin 2019 • Commentaire de texte • 711 Mots (3 Pages) • 1 100 Vues
Écriture poétique et quête du sens, du Moyen-Age à nos jour
S1→ Verlaine, Romance sans Paroles, 1874 (œuvre complète)
Pb→ RsP : Pièces musicales ou tableaux ?
Paul VERLAINE | Ariettes Oubliées 3 |
1844-1896 (19e s) | 3er poème de RsP |
P.Verlaine poète fr né à Metz 30 mars 1844 mort à Paris 8 janvier 1896. Il est enfant unique choyé par sa mere qui accepte tout ses caprices. V découvre poésies par Baudelaire Les Fleurs du mal→ décide de devenir poète. V abandonne sa femme pour suive Rimbaud en angl et bel. Mais relations difficile entre eux deux→V blesse R avc revolver en 1873→ 2 ans prisons. V se convertit au ┼ pdt sont incarcération et écrit poèmes de Sagesse. V réincarcéré car bat sa mère qui meurt en 1886. V passe ses dernières dans misères ivrognerie errent d’hôpital, exploité par ses maîtresse. | -Ressemble avec Ariettes Oubliées 1 car épigraphe. -Ici épigraphe de Rimbaud (amant de V):soit V site R pour son affection soit c'est une manière de faire une « compétition » avec ce poète -RsP donnant la prééminence à la musique, se compose de 4 sections différentes : « ariettes oubliées » « paysages belges » et « aquarelles ». Poème étudié→ Ariettes Oubliées 3=extraite de la première sections. Ce poème s'ouvre sur un ver extrêmement connu « Il pleure dans mon cœur » -Ce poème correspond à la période ou V a rencontré R. |
Fêtes Galantes (1869) Poèmes Saturniens (1866) | Langueur : dépression, affaiblissement, ennui |
Parnasse : Perfect° artistique de l'art poétique Symbolisme : Concept° spirituelle du monde ≠ Réalisme Décadentisme : Penchant pour l'irrationnel, la mort, le mystère ≠ science | L’originalité de V, c'est un art poétique basé sur la musicalité. La comparaison entre larmes et la pluie est u cliché : mais V le transforme en un paysage sonore. Le poète s’efface encore une fois et laisse place aux musiciens. |
- 4 strophes de 6 vers - Strophes carrées | 1- La mélancolie du poète A) Une peine du cœur Champ lex. Tristesse : pleure, langueur, deuil, peine. Peine se rattache au cœur soit par COL (dans) soit par un COD(qui pénètre mon cœur) Terme « cœur »=omniprésent dans chaque strophe mais tjrs avec nuances : mon cœur, un cœur, ce cœur→placé à diff.lieux : v10.→cœur qui s’écœure=poète noyé par le chagrin B) Une peine diffuse Le poète n'obtient pas de réponse à ses question:sans raison, ne savoir pourquoi. La ponctuation est forte et montre difficulté a cerner peines. Donc aucune cause a cette mélancolie. Peine à exagéré par superlatif « pire »et hyperbole « tant » Apostrophe lyrique montre soit poète veut atténuer tristesse soit impuissant a en sortir Le lecteur ne sait pas quoi en penser aussi. 3) Le poète s’efface Présence poète se manifeste juste par « mon ». Emploie de tournure impersonnelles des premiers mots:il pleure, ce cœur. Poète très peu présent, la pluie le remplace (cf. Ariettes oubliées1) Poète représenté par métonymie cœur:résume tt au cœur car cœur= siège des sentiments. Paronomase reliée par « comme » : pleut, pleure Verbe «pénétrer »=action forte don po. Subit mélancolie. 2-La musique Cette mélancolie se transforme en chant. A) Le chant de la pluie 1er et 4eme vers de chaque quatrains veulent dire la mm chose →créer limite : Dernier mot des1er et 4eme vers sont les mm . Au niv. Du lexique, mot « ennuie » renforce monotonie. -Rythme : 4 quatrains de 6 syllabes= rythme régulier. Enjambements rappels monotonie et régularité. →Construct° du poème montre cette monotonie -Sonorités : Allitérat° en « l » rappelle la pluie. Chaque syllabe d'un mot peut rappeler une goutte de pluie. Ce chant est caractérisé par la répétition et la monotonie. Accompagne ennuie du poète→hésite entre souffrance/ plaisir/ douleur/ soulagement. B) Entre douceur et aigreure « par terre » et « sur les toit ; « amour » et « haine » ; « ? » et « ! » « bruits doux » « la douceur de la pluie » (reprise épigraphe) résonne dans le cœur vide du poète. C) Sensation et musicalité Dans épigraphe, adverbe « doucement »relié à ouïe, touché, rythme. Poème comporte très peu de sensation (limité à « bruit doux » et « chant ». V le métamorphose d'abord en y ajoutant l'adj « doux » puis devient en « chant ». La musicalité ne provient pas de la pluie mais du poèmes, d'écriture poétique. La pluie n'est qu'un prétexte.
| Paronomase : cœur écœure Hyperbole Apostrophe Methonymie Paronomase Métaphore filée : pluie Opposition Oxymore Antithèse |
En quoi ce poème est original ? |
...