Le survenant, planned dissertation
Dissertation : Le survenant, planned dissertation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alphabet1234 • 24 Septembre 2017 • Dissertation • 1 289 Mots (6 Pages) • 915 Vues
Étape 1 : Plan du développement
- Le nomadisme apporte bonheur au voyageur
- Le Survenant aime apprendre de nouvelles connaissances
- « Ce qu’il avait appris, sur les routes ou ailleurs, c’était son bien. Il était maître de le garder et il s’en montrait jamais avaricieux. »
- Connaissances utiles apprises sur les routes qu’il partage avec les personnes rencontrées.
- « Je vous avertis que je mange comme un gargantua » p.101
- Connaissances des mots qu’il utilise à bon escient.
- Le Survenant aime rencontrer de nouvelles personnes et de nouveaux pays
- « Un soir d’automne, au Chenal du Moine, […], des coups à la porte les firent redresser. C’était un étranger de bonne taille, jeune d’âge, paqueton au dos, qui demandait à manger. » (p.19)
- Le Survenant a fait le choix de s’arrêter dans cette famille et n’hésite pas à demander un toit.
- « Comme de raison une étrangère, c’est une méchante, elle est pas du pays. » p. 186
- Survenant habitué aux rencontres et à une grande ouverture d’esprit concernant les personnes venant d’ailleurs.
- Voyager permet d’être libre de ses choix
- « Vous autres, vous savez pas ce que c’est d’aimer à voir du pays, de se lever avec le jour, un beau matin, pour filer fin seul, le pas léger, le cœur allège, tout son avoir sur le dos. » p.186
- Aucun regrets, aucun compte à rendre.
- « Toute la jungle. Et le Far-West. L’Asie. L’Afrique. » p.169
- Donne une vision du monde immense
« Le monde. Le vaste monde. » p.169
- Insiste sur l’immensité du monde
- Les villageois du Chenal au Moine sont attirés par le Survenant
- Ils aiment entendre les histoires qu’il raconte
- « Curieux d’entendre ce que le Survenant pouvait raconter du vaste monde, les gens du Chenal accouraient chez les Beauchemin » (p.50).
- « Curieux d’entendre ce que le Survenant pouvait raconter du vaste monde, les gens du Chenal accouraient chez les Beauchemin. » p.50
- Ils admirent et envient la famille Beauchemin d’avoir la chance d’avoir un Survenant
- « Au Chenal, plusieurs cultivateurs […] commençaient à regretter qu’il n’eût pas échoué chez eux plutôt que chez les Beauchemin: un peu plus il leur ferait honneur » (p.60 l.13-16).
- Les connaissances du nomade et son caractère travailleur rendent les villageois jaloux des Beauchemin.
- « Grand-dieu-des-routes » (p.61)
- Surnom donné au Survenant, ce qui prouve que les villageois le respectent.
- Le Survenant donne confiance au gens du chenal.
- «la p'tite mère» (p.45, 48, 125)
- Surnom donné à Alphonsine et qui lui a permis d’avoir confiance en elle-même.
- « Puisqu’il [le Survenant] lui avait conseillé de se remarier, rien de mauvais ne devrait en résulter. Et c’était aussi grâce à lui que le père Didace avait connu l’Acayenne. »
- Le Survenant à aider Didace à se rendre compte qu’il pouvait encore être heureux et trouver une autre femme.
Étape 2 : Rédaction
Dans le roman, Le Survenant, l’homme qui donne son surnom à ce livre est un nomade, celui-ci trouve son bonheur dans ce mode de vie qu’est le nomadisme. Cette façon de vivre apporte diverses connaissances au Survenant qui aime apprendre. Les personnes avec qui il a vécu durant son année au Chenal du Moine se sont rendu compte du nombre de connaissances apprises par le voyageur. Marie-Amanda défend le Survenant contre Amable en lui disant : « Ce qu’il avait appris, sur les routes ou ailleurs, c’était son bien. Il était maître de le garder et il s’en montrait jamais avaricieux. » (p.206). Ces voyages ont forgé son caractère et lui ont appris des connaissances utiles qu’il n’hésitait pas à partager avec autrui. Au détour d’une conversation le voyageur utilise un mot que personne ne connaît au village (« Je vous avertis que je mange comme un gargantua » p.101), cela démontre qu’il n’a pas seulement des connaissances pratiques mais qu’il a également des connaissances intellectuelles et qu’il s’en sert à bon escient. Le voyage apporte donc au nomade diverses connaissances qu’il a sur réutiliser au cours de ses rencontres afin d’aider les personnes rencontrées.
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