Le romantisme

Le mouvement littéraire le romantisme

Le romantisme, point histoire

Au 19eme les idéaux nés de la revolution sont bridé par l’empire et la restauration —> Le roman devient un genre majeur (age d’or du roman), il faut retenir aussi que nous somme en plein essor industriel, essor également de la presse. 
Qu'est-ce que le romantisme, c’est un mouvement culturel et européen en fin du 19 eme en allemagne et en angleterre d’abord, il se développe en france en fin du 19eme

-Qu’est-ce que le mal du siècle

Symptômes du mal ; -incertitude -inquietude -conscience des imperfections de la modernité, Chateaubriand compare le temps à une statut, “le passé est une statut mutilée par les débris des ages, et le present est une statut imparfaite qui n’a pas la perfection de l’avenir”

“je suis née trop jeune dans une vie”

-Condamnation de la société nouvelle

-Une forme de passivité, retrait du champs social

-Un exil volontaire Le romantique souhaite partir

-Un ennui, indecision, nostalgie du temps passé, angoisse du temps present, insatisfaction perpetuelle.

-Une soif absolue d’éternité, cherche a toucher les etoiles.

Oberman Senancourt

“Il y a en moi une inquietude qui ne me quittera pas, c’est un besoin que je ne connais pas, une inquietude qui m’absorbe, qui m’emporte, au delà des êtres périssables”

II - Le lyrisme

-Le lyrisme est l’exaltation des sentiments personnelles. Le lyrisme —> “lyre” l’instrument de musiue symbole de poésie —> Orphée

-La sombre mélancolie ne saurait à elle seule définir les premiers romantiques

-Intensité et inconstance des sentients entre dans la spiral de l’enthousiasme et du désespoir ; la souffrance elle même devient delectable.

-Le lyrisme cherche un souffle libérateur, la nature est représenté comme un refuge ou un abri protecteur.

-le voyage est aussi une source d’evasion, le hero romantique est revolté et refuse surtout l’ordre social

-C’est un être faible brisée par experience de la réalité (hero)

-élans du coeur, le romantique, tourment de l’âme sans honte ni retenu.

III- Une rupture par rapport à la tradition

-Rejet du classique. Tradition classique du 17eme siècle fondé sur la raison et la mesure

-Les contraintes formelles sont rejetées (vIctor Hugo dans la pre-face de Cromwell—> La règle des trois unités).

-Les romantiques se permettent de mélanger les registres; s’apposent à la separation net entre la tragédie/comédie.

-Victor Hugo rejette l’utilisation de

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