Le portrait en peinture du XVème siècle
Cours : Le portrait en peinture du XVème siècle. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar msacrhiousb • 20 Février 2019 • Cours • 369 Mots (2 Pages) • 812 Vues
Le portrait en peinture du 15eme siècle à nos jours
Objectif : être capable de dire à l’oral l’évolution dans l’art du portrait en peinture du 15eme au 20eme siècle en proposant des exemples précis
Travail à réaliser : à partir du poly distribué, dresser les techniques utilisé en peinture pour réaliser un portrait.
Pour chaque siècle, se reporter simplement à ce qui est écrit sur le poly et proposer les exemples donnés en expliquant un peu.
Rechercher quoi dire de plus par rapport au portrait.
15eme siècle :
Les portraits peint sont des personnes importantes, soit issu de la cour, soit issu de la bourgeoisie. De plus, ils sont peints simplement, c’est-à-dire qu’ils sont en réalité, comme l’huile sur chêne « marguerite Van Eyck » réalisé par Jan Van Eyck ou l’huile sur panneau de peuplier « portrait de jeune femme » peint par Antonio Del Pollaiolo.
16eme 17eme siècle :
Les portraits deviennent des instruments pour glorifier (cad mettre en valeur les qualités du modèle). Les poses sont alors variées et peu communes : Van Dyck ou alors Rubens sont les grands représentants de ce genre. Sur l’huile sur toile qui se nomme « Portrait équestre du duc de Lerma » et qui a était réalisé par Rubens on constate qu’il est sur un cheval, ceux qui nous montre bien une sorte de supériorité que le Duc a surement voulu mettre en avant par le biais de cette représentation.
18eme siècle :
Le portrait n’est plus réservé aux personnes importantes car les peintres peignent les membres de leur famille ou alors des amis. Ils s’intéressent plus à la personnalité du modèle, à l’expression de leur visage. On appel cela le portrait psychologique. Comme le prouve l’huile sur toile de Georgia Leys Schielderup qui se nomme « Portrait de Mlle Guimard ».
19ème siècle :
Les peintres se libèrent des contraintes de ressemblance, ils peignent à leur manière et « testent » de nouvelle chose. Par exemple dans « le portrait de Madame Matisse », les lignes et les couleurs sont simplifiés. Ou encore un bon exemple de diversité avec l’œuvre de Picasso et son « Portrait de David-Henry Kahnweiler », où dans ce cas la figuration disparaît presque totalement, on ne reconnaît ni même distingue plus le modèle.
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