Le grand troupeau

Le texte de Giono et Céline sont proche en de nombreux points, ils dénoncent tout les deux la guerre en adoptant un point de vue interne et en la décrivant de manière crue, sans idéalisation épique. Cependant, Giono n'a pas recours à l'humour comme Céline avec son personnage qui n'est pas à condamner.

De façon incontestable les cries de Olivier sont une expression de la peur de l'homme face à l'horreur. En effet le "Mii,moi" ligne huit associé au "non, pas moi" ligne dix-neuf témoigne d'une réaction humaine face à l'adversité car Olivier est rassuré de n'avoir été pas touché.

À travers le point de vue interne ( celui du soldat)la guerre semble plus réaliste perçu à hauteur d'homme ce qui permet de mieux se rendre compte de sa violence de plus , le simple soldat n'a pas conscience des enjeux à plus large impacts du conflit d'autant plus que celle-ci lui paraît absurde.

La description des morts ou des cadavres suscite l'horreur le dégoût et la pitié. Elle est à la fois tres crue " il pataugeait ..." ligne 13 et aussi poétique " il regardait" ligne douze. Ceci peut paraître contre adictoire au regard de la gravité dès événement seulement le narrateur veut apporter un peu d'exil au lecteur.

Le texte de Giono a un ton beaucoup plus grave que celui de Céline ont y perçoit aucun humour. Olivier n'a rien d'antipatique contrairement à Bardamu sa douleur peut toucher n'importe quel lecteur bien l'avantage que l'indifférence ou la satisfaction du perso de câline .

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