Le coronavirus, qui nous a obligés à rester confinés ne nous a-t-il pas permis de mieux redécouvrir les charmes de la lenteur ?
Synthèse : Le coronavirus, qui nous a obligés à rester confinés ne nous a-t-il pas permis de mieux redécouvrir les charmes de la lenteur ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SkoZ ZeiKo • 5 Avril 2021 • Synthèse • 1 001 Mots (5 Pages) • 465 Vues
SOUDANT Marc BTS SIO 2 SISR Expression Ecrite
Aujourd’hui nous allons évoquer l’époque dans laquelle nous vivons actuellement ainsi nous évoquerons la question le coronavirus, qui nous a obligés à rester confinés ne nous a-t-il pas permis de mieux redécouvrir les charmes de la lenteur ?
Nous vivons dans une société où prendre son temps est devenu quelque chose d’extrêmement rare. Nous avons juste à regarder autour de nous, jeter un coup d’œil à ce qui nous entoure et aussi a ceux qui nous entourent. En y prêtant vraiment attention on s’aperçoit que plus personne ne prend son temps ou peut être pourrait on renommer cela en redécouvrant les charmes de la lenteur. Lors de cette annonce beaucoup de personnes étaient perdus car très habitués voir trop habitués à courir après le temps malgré que celui-ci soit toujours en avance sur nous. Ils se sont retrouvés à ne plus avoir autant d’impératif qu’auparavant ce qui pourrait en surprendre plus d’un. Le monde où tout va à 100 à l’heure arrêté brutalement en plein milieu d’un mois de mars. Les magasins fermés, les rues désertes ou encore les bars et restaurants complétement vide….
Cette période à changer la vision de tout le monde sur ce qui nous entourent et nous a permis de nous reconcentrer sur l’essentiel et peut être quelque part redécouvrir ce qu’est de profiter des charmes de la lenteurs, nous sommes tous redevenu « un petit paresseux » comme peut l’évoquer Pierre SANSOT et avons redécouvert les plaisirs de « flâner» ou encore le plaisir de « l’ennui » qui permet de développer sa créativité qui est un problème chez les jeunes enfants à l’heure actuelle avec les écrans. Cela a permis également aux familles de se retrouver entre elle pour se redécouvrir et prendre plaisir à « flâner » ensemble.
Finalement, nous nous sommes aperçu que le monde dans lequel nous vivions allé de plus en plus vite avec la fameuse routine métro-boulot-dodo ou encore le 40-40-40 représentant les 40heures de travails par semaines, les 40 ans de travail pour toucher 40% de son salaire à la retraite, la retraite peut être le seul moment de la vie où l’on profite réellement de « rêver » ou encore de flâner peut-être parce que l’on s’est aperçu après tant d’années d’expérience que finalement courir après le temps ne servait pas à grand-chose et que l’on ne profite pas de la vie à ce moment-là.
A ce moment-là peut être pourrons nous dire que nous avons eu un avant-gout de ce qu’est le plaisir de la vie à la retraite, le fait de prendre son temps, réellement prendre soin les uns des autres car finalement l’ensemble de nos obligations se sont évanouis avec le confinement comme on le retrouve dans l’œuvre de David le Breton.
Avoir le temps durant le confinement a permis pour beaucoup de réaliser des tâches qu’ils devaient faire il y a très longtemps mais qui n’ont pas été réaliser à cause du manque de temps. Grâce au confinement, les gens ont redécouvert ce qu’est que prendre son temps et profiter de la vie. Une vie qui n’est peut-être pas faites que de travail finalement mais aussi de rencontre et de moment plus calme où l’on peut quelques parts rêvasser sans avoir cette pression d’avoir quelques choses à réaliser après.
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