Le Rapport de Brodeck

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Titre : Le Rapport de Brodeck

Auteur : Philippe Claudel

Date  de parution : 2007

Nombre de pages : 375

Récompenses : Prix Goncourt des lycéens en 2007 et Prix de fiction étrangère en 2010.

Biographie de l’auteur :

Philippe Claudel est né en 1962 en Lorraine. Son père était un ancien résistant et gardien de  la paix. Sa mère était une ouvrière dans le domaine de la confection a eu un bas S mais il a connu une période compliqué car il ne savait pas son orientation, il a donc enchaine des petits boulots durant ce temps, de plus il écrivait mais ses œuvres ne trouvaient pas le public.  IL tombe donc de plus en plus et sombre dans l’alcool ; jusqu’en 1983 ou il rencontre une femme et cela lui permet de refaire surface. Il reprend ses études, des études de lettres mais aussi de cinéma. IL obtient l’agrégation et le doctorat. Grace a cela il enseigne à la FAC et écrit de plus en plus. Mais il décide aussi d’enseigne à des enfants handicapés ce qui va influencer quelque unes de ses œuvres. IL a connu de grand succès avec des romans tel que : Le rappport de Brodeck, Les âmes grises ainsi que La petite fille de M Lilh. Mais aussi avec des scénarios pour le cinéma  comme Il y a longtemps que je t’aime. 

Les personnages :

Brodeck : Narrateur et  personnage principal du roman. IL est chargé d’écrire le rapport même si celui-ci n’était pas présent dans l’auberge de Schloss lors de l’Eregniës. C’est un ancien déporté.

Fédorine : C’est une femme agée qui a recueilli Brodeck durant la guerre puis est venue s’installée au village avec lui. Elle s’est occupée de lui comme une mère. Elle reste assise sur une chaine et ne dort jamais car elle veut faire face à la mort.

Émélia : Femme de Brodeck. Il l’a rencontrée lors de son séjour dans la capitale, elle y exerçait le métier de brodeuse. Elle est muette, chante sans cesse la même chanson et  garde près de son ventre le rapport de Brodeck.

Poupchette : Fille d’Emélia et de Brodeck

L’Anderer : Etranger du village, on ne connait pas son nom il se fait assassiner à la fin du roman.

 Orschwir : Maire du village. Il a perdu ses enfants (Gunter et Gehar ) . Ils sont mort en jouant avec une grenade  à la guerre. C'est lui qui a la plus grande maison, ou  plutôt une ferme.  

 C’est un homme riche grâce à l’élevage des porcs. Il a participé au meurtre de l’Anderer.

Dieter Schloss : Il tient l’auberge du village, celle où a séjourné l’Anderer et où il a été assassiné.

Il a essayé d’aider Brodeck en lui rapportant la conversation qu’Orschwir et l’Anderer ont eus chez lui, le lendemain de l’exposition des dessins.

Göbbler : C’est le voisin de Brodeck. Il ne cesse de l’espionner, de le menacer. C’est un « homme qui a passé la soixantaine, au visage taillé à la serpe qui ne sourit jamais et ne parle pas davantage.Un voile  de peau blanche mange peu à peu des yeux et il ne voit pas à plus

De cinq mètre […] IL vit de sa pension et son poulailler […] Fini par ressembler un peu à ses coqs. Ses yeux bougent de la même façon et sa peau qui pend sous son cou lui dessine des rougeurs sanguine »

Boulla : Femme de Gobbler, «  plus jeune que lui elle est grosse et bavarde elle sent le grain et l'oignon»

Diodème : Instituteur et un ami du narrateur. Cet homme instruit vit seul au-dessus de l'école. Il cherche à comprendre et passe  la plupart de ses heures de liberté dans les archives du village. Il est plus âgé que Brodeck, il écrivait des histoires et Brodeck adorait qu'il lui lise. Il a dénoncé Brodeck  comme étranger au village auprès de Büller et est donc responsable de son arrestation et de sa déportation. Durant son absence il s’est s’occupé de Fédorine et d’Emélia.

Ernst-Peter Limmat : Ancien maitre d’école.

Le curé Peiper : Il ne croie plus en dieu (même si celui-ci est prêtre). Il sombre dans l’alcool.

Cathor : Raccommodeur et  beau-frère de Beckenfur.

Gunther Beckenfür : Habitant du village, beau-frère de Cathor, celui –ci est décapité par Adolf Buller.

Stern : Il vit à l’écart du village, dans la forêt.

Gustav Dörfer et sa famille :

Fritz Aschenbach

 Pipersheim : patron du café

La mère Pitz : Elle tient une sorte de café fréquenté essentiellement fréquenté par les vieilles femmes du village. Elle a une connaissance vaste et précise des « plantes du plateau » et possède de très beaux herbiers.

Menigue Wirfrau : Boulanger  

Doris klattermeier : Jeune fille 

Frida Niegel : Villageoise

Les deux filles Glacker

Simon frippman : Dénoncé (avec Brodeck comme étranger).

Gudrun Osterck : Brodeuse habitant avec Emélia lors de ses études.

Pr Hobel : Forestier

Gustav Roppel : Tient une quincaillerie. Ancien ami de classe de Brodeck

 Pr Nösel : Professeur d’université qui a donné le goût de la poésie à Brodeck. Arrêté au cour des premières rafles et mort dans un camp.

Moshe Kelmar : Etudiant que Brodeck a rencontré dans le wagon qui le menait au camp.

Il décidera de mettre fin à ses jours suite à l’acte que lui et Brodeck ont commis : le vol de l’eau qui aura pour conséquence la mort de la femme qui possédait la bombonne ainsi que son enfant.

Ulli Rätte : Ami de Brodeck lorsqu’il était étudiant.Il décide de partir suite aux manifestations et ne reverra plus jamais cet homme.

Zeilenessenis : Elle passe tous le jours devant le camp dans lequel est Brodeck pour voir le pendu. 

Le capitaine Adolf Buller : Capitaine de l’armée qui s’est installée dans le village de Brodeck.

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