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Le Clézio, Désert

Commentaire de texte : Le Clézio, Désert. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  3 Juin 2018  •  Commentaire de texte  •  599 Mots (3 Pages)  •  1 230 Vues

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Venicius

Dossena

12D4  

Commentaire littéraire n°2

    Le Clézio est un auteur français-marocain du 20eme siècle et 21eme siècle. Ce texte et un extrait roman Désert publier en 1980, ce roman fait partie du registre lyrique, cette scène ce passe a Marseille après que Lalla soit partie de son pays natal le Maroc. Dans un premier temps nous verrons comment Le Clézio décrit la ville et ses caractéristique avec une description d’une ville abandonné, délabré et comment elle fait sentir un sentiment d’enfermement pour Lalla. Et ensuite nous verrons comment la ville fait peur a Lalla et lui fait sentir un sentiment de malaise.

    La ville est décrite comme vieille, abandonner, délabrer et cella donne une impression d’enfermement à Lalla.

    La ville est décrite comme une ville en ruine. Le Clézio emploi des répétition pour insister sur la vieillesse de la ville « vieille » « vieille » « vieux » « vieux » « vieux » puis il utilise des mots qui ce réfère à la dégradation « l’escalier défoncé » « coule l’égout qui sent fort » « sur les vieux mures lépreux » cette ville est dégrader, en ruine. L’auteur fait ressentir un sentiment d’emprisonnement avec la description de la ville. Il emploi le champs lexical de l’emprisonnement « fermées », « tirés », « grillages », « barreaux », « prison », « prisonniers » tout en usent des répétition « fenêtres » a été employer 6 fois, « barreaux » a été employer 4 fois, « prisonniers » a été employer 3 fois. Le Clézio a insister sur l’idée d’enfermement, de perpétuité « tous ceux qui ne verront plus la lumière, qui ne respirons plus le vent ». Lalla ce sent emprisonnée dans cette endroit qui n’est pas le sien et elle n’arrive pas a y sortir.  Cette ville est abandonné, Lalla ce sent seul. La Clézio emploi le champs lexical de la solitude « Il n’y a personne dans les rues », « les maisons semblent abandonnées », « déserte », « rues silencieuses », il n’y a la présence d’un seul êtres humain « seulement quelques chiens au poil hérissé, qui rongent leurs os en grognant ». Cette ville paraît hostile pour Lalla, elle ce sent seul a l’égard de tous.

    Le sentiment d’emprisonnement, de solitude font ressentir de la peur chez Lalla.

    Cette ville fait ressentir de la peur malgré la présence de la lumière Lalla ressent de la peur.

   

    La présence de la mort, de la maladie fait ressentir de la peur chez Lalla. Le Clézio emploi le champs lexical de la mort et de la maladie « mort » « tombeau » « murs lépreux » « creuse un trou » « chambres...froides » « défoncé » « recoins pourris » il emploi aussi des comparaisons « il y a un froid de mort qui sort des bouches des soupirails, des caves, des fenêtres noires. C’est comme une haleine de mort qui souffle le long des rues », « il y a plusieurs taches rouges comme la sang » et il emploi aussi le symbole de la mort et la maladie « les blattes et les rats » la présence de la mort et de la maladie est une source de peur pour Lalla.  La présence des sens dans le texte inspire de la peur pour Lalla. « Lalla ne veut pas les regarder » (la vue) « ou coule les égout qui sente fort »

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