"La servitude volontaire", La Boétie.

lecture analytique n°1:

"Discours sur la servitude volontaire"

La Boetie

A/ Biographie de La Boétie

B/ Analyse

1) La Thèse

2) La constat de la misere du peuple

3) La demystification du tyran

4) C'est pourquoi La Boetie peut clairement denoncer la seponsabilité du peuple dans la tyranie et sont malheurs

5) Conclusion

A/ Biographie de La Boétie

-Né a Sarlat en 1530 dans une famille de la petite noblesse,

-Il fait ses études de droit à Bordeaux sont œuvre maîtresse est un discours sur la servitude volontaire,

-Il est nommé conseiller au parlement de Bordeaux 2 ans avant l'âge legal et c'est la qui va rencontrer Montaigne(nommé lui 1557), il va naître une amitié exemplaire.

-Début de la guerre de religion La Boétie a tenter une politique de conciliation, mais il tombe malade et meurt (comme J-C) à 33 ans en 1563

-Pour Montaigne grande perte et c'est la qui écrit les Essais

-Montaigne va hérite des manuscrit de La Boétie il va les publié sauf discours sur la servitude volontaire car il n'ose pas c'est trop subversive car le contexte est particulier car François 1er meurt et c'est le début Henry 2

-Libertinage(=Mouvement qui apparaît à la fin du XVI, précurseur des lumières)

B/ Analyse

la thèse est paradoxale

Problématique:En quoi cette thèse est-elle paradoxal

1) La Thèse

-La thèse est énonce dans le 1er paragraphe "si les hommes ne sont pas libres c'est qu'il ne le désir pas "la thèse est paradoxal mis en valeur par un chiasme(AB/BA)

-la thèse renvoie au titre du discours. Selon LB, la servitude est volontaire se qui sous entend que la servitude que jusque dans la monarchie ,la servitude est naturelle

-Cette thèse est paradoxal amène le lecteur a se questionner, Fonction apéritive (curiosité du lecteur)

2) La constat de la misere du peuple

● -LB fait le constat de la misére du peuple

-LB implique son destinataire1 par l'emploie du pronom personel "vous" et des determinant possessif "vos","votre" et par des apostrophes "pauvre gentet miserables" mais egalement par le rytme ternaire qui traduisent certe la compassion mais surtout l'universalité de l'alienation du peuple

●-En effet, la misere ecrase le peuple qui se laisse depouiller au plan materiel, en temoigne les adj "pauvre et miserable" ainsique le champ lexical du vol souligné par le rytme ternairedes 3 infinitif "piller","voler" et "depouiller".

-Ce vol concerne les revenus du travail au champs (l.6) mais aussi les biens "meuble anciens et paternels".

-Le denoment est total et resumé dans une brève proposition negative "vous vivez de sorte...que rien n'est à vous"(l.7-8)

-Cedepouillement contraste avec le retour acessant du determinant possessif "vos"/"votre" danc la cruauté est souligée par l'antithése entre le boneur de la possetion "bien","famille","vie" et le champ lexical du malheur "degat","malheur" et "ruine". Parallelement l'opposition possesifs et demonstratifs renforce l'antithèse

●-enfin le tyran menace la vie de sont peuple de differantes manières:

*par la guerre le tyran s'attaque a la vie de son peuple

*il s'attaque a la vertue des sujets feminin (plaisir)

*il traite ses sujets comme des esclaves comme le montre la metaphore equestre (l.30-31) "vous tenir plus courte la bride...n'endureraient point"

3) La demystification du tyran

-le peuple mystifie le tyran en témoigne les intensif "si grand"

-le choix d'un lexique péjoratif pour qualifie le tyran "larron qui roupille"le rabaisse au rand d'un vulgaire "bandie" a cette 1er critique s'ajoute l’immoralité du tyran sa richesse et son pouvoir font qu'il peut se dispensé de toutes moral "vous nourissez vos filles afin qu'il puisse assouvir sa luxure" registre du blâme souligne par un lexique violament péjoratif "se mignarder dans ses délices","se vautrer dans ses salles plaisir"expression dans laquelle il se vautre, enfin le tyran et violent "meurtrier

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