La reine morte Henri de Montherlant
Commentaire de texte : La reine morte Henri de Montherlant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Julie.96700 • 10 Décembre 2022 • Commentaire de texte • 949 Mots (4 Pages) • 2 248 Vues
Analyse linéaire La Reine morte d’Henri de Montherlant
I – Le personnage de Ferrante et l’évolution de ses sentiments
- Ferrante, un personnage vaniteux
- Amour tendre
Contexte :
-1942 : 2nde guerre mondiale
-Lieu : Espagne-Portugal
-Don Pedro doit se marier à l’Infante d’Espagne mais en aime une autre et le lui annonce. Son père le convoque.
Réplique du roi Ferrante : L1 à L18
Analyse de l1 à l3
-Propos monstrueux : hyperbole ?
-Maintenant, écoutez-moi : Emploi d’un discours injonctif « écoutez-moi » + vouvoiement comme s’il était un inconnu et moralisateur
-Je suis las […] : gradation, lassitude envers son peuple accentuée par une gradation
-Regarder moi donc : égocentrique
-Particulièrement : accentuation
L3 à l
- Bébé : indifférence
- 5 à 13 ans : amour tendre
- 13 ans : adoration
- 14 ans : déception(grossier) + désir d’abandon déguisé derrière l’appel du travail
- 14 ans à 26 ans (adj) : fuite
-Hébétude : hyperbole
- Votre frère […] + mort de sa mère : Pedro représentait son dernier espoir. Il se fait quitter de tous
L 5 à 11
-grâce, gentillesse, finesse… : commence l’éloge de son fils à treize ans
1. Un personnage vaniteux et égocentrique
-Maintenant, écoutez-moi + Regardez-moi : Emploi d’un discours injonctif « écoutez-moi » + vouvoiement comme s’il était un inconnu et moralisateur
-Je suis las […] : gradation, lassitude envers son peuple accentuée par une gradation néglige son peuple ses sujets
-Regarder moi donc : égocentrique/ vaniteux
Utilisation du terme « vielle bête » se permet de caractériser
-Particulièrement las de toi : accentuation avec
- Respiration hauteur
-On peut avoir de la médiocrité…
-Mais je regardais… et ils étaient tjr misérables : Similitude avec dieu il se positionne comme tel et juge et caractérise ses actes de misérables. Et également « vous êtes vide de tous et d’abord de vous-même ».
2. L’amour de Ferrante
1.L’amour que Ferrante éprouve pour Pedro est progressif. -Bébé […], de 5 à 13 ans […], 13 ans […] : Ferrante fait la chronologie de l’amour qu’il porte à Pedro et la biographie de son comportement à partir de son point de vue
Un amour naissant : premièrement : Indifférence bébé
Puis De 5 ans à 13 ans : amour tendre
Le fait qu’il était abandonné par tous à contribuer au fait que son fils doit combler un manque « Vous me restiez seul ». Mère décédée + fils entre dans les forces de l’ordre
Eloge de son fils : grâce, finesse ... C’est l’apogée/paroxysme de l’amour de Ferrante envers Pedro, Procédé de l’énumération des qualités
Grande gloire : hyperbole laudative
Soleil : métaphore qui attise l’attention du père et c’est la fin de son amour
Ephémère
Fougue de l’enfance appréciée par Ferrante
Maxime avec le papillon
3.Réquisitoire de Pedro
Transition : Puberté assimilée avec le papillon et le ver. La puberté serait le processus par lequel le ver deviendrait un papillon et le père explique que pour l’homme c’est le contraire qui se passe et que le papillon devient un ver. L’homme serait donc d’abord un papillon puis deviendrait un ver. On peut donc comprendre que Ferrante pense que son fils grandit dans le sens inverse et s’élève également dans ce sens. Il était quelque chose de beau, le papillon, puis devient quelque chose de laid, le ver. Le père refuse que le fils évolue et devienne un homme.
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