La peste Albert Camus

Alycia vieira                                                                                                               1°5                                                                                                                                              

                                             La Peste d’Albert Camus

Joseph GRAND :

C’est un petit fonctionnaire à la mairie, il est décrit comme frêle, solitaire, souvent habillé avec des vêtements large et ayant du mal à s’exprimer. Il échoue aussi bien dans sa carrière professionnelle que dans sa vie personnelle car sa femme la abandonnée à cause de sa pauvreté et des ses conditions de vie.

Il semble vouloir se donner de l’importance en évoquant plusieurs fois le projet secret sur lequel il travaille qui est un livre ou il ne fais que changer la première phrase. Pour le docteur Rieux, c’est un homme innocent qui sera épargné par la maladie. D’ailleurs sa première « vrai » apparition c’est qu’il sollicite Rieux afin qu’il sauve Mr Cottard du suicide celui ci collaborera par la suite avec ces derniers.

Joseph Grand est donc un personnage engagé autant pour l’administration de la lutte contre le fléau que d’écrire son livre qui d’après lui donnerait un sens à sa vie. Pendant ses heures de liberté, il produit des statistiques pour les formations sanitaires en soit rien d’incroyable ou de très impressionnant mais il fais de son mieux pour aider Rieux contre cette maladie. Il fais donc ce qui est à son échelle, être dans un bureau et se servir des données de la mairie.

Joseph Grand est donc un personnage beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît. On pourra même dire que Camus a fait de lui le personnage le plus émouvant du roman. Il a fait de cet antihéros au début du roman un véritable héros d’autant plus qu’il survit à la peste et le personnage et pour ma part le plus attachent. On le voit par son dévouement sans relâche, sa simplicité, sa générosité et l’honnêté de ses réactions.

Raymond RAMBERT :

C’est un journaliste parisien d’environ 25 ans « court de taille, les épaules épaisses, le visage décidé, les yeux clairs et intelligents. Il portait des habits de coupes sportives et semblait à l’aise dans la vie ».

Il enquête à Oran sur les « conditions de vie des Arabes » et « l'état sanitaire ». En plus d’être  journaliste, il a un passé de militant. En effet il a combattu, pendant la guerre d'Espagne, du côté des vaincus. C'est cette expérience qui lui permet de parler en faveur du droit au bonheur. Raymond Rambert apparaît au tout début de l’œuvre alors qu’il essaye d’interroger Bernard Rieux sur les conditions de vie dans les colonies. Il fut dessus d’être surpris par la peste et se retrouve coincé à Oran où il essaye à tout prix de s’échapper pour retrouver la femme qu’il aime en France.

Son comportement au début du Roman est celui d’un homme égoïste car il cherche son bonheur (ici dans un malheur collectif). Cependant la solidarité envers la misère des autres va prendre le dessus et il décidera finalement de rester et de participer au formation sanitaire pour aider les habitants.

Ce personnage est intéressant car après que ses tentatives de fuite aient échouées il se décide de rester a Oran et de chercher le bonheur collectif en luttant au côté de Tarrou contre la Peste « il peut y avoir de la honte à être heureux tout seul».

LE COVID 19 ET LA PESTE

On en a beaucoup parlé car dans les deux cas l’homme fait face à une crise sanitaire.

Ces deux maladies peuvent toucher n’importe quelle personne ce qui pousse les habitants à rester chez eux. Il y a aussi le fait que les vaccins sont extrêmement long à être élaborer (comme presque pour toutes les maladies) mais surtout que soit pour le Covid ou la Peste aucun vaccin n’est réellement fiable et efficace sur la duré.

Cependant la Peste est un roman qui met en avant le mal en général,  il existe tout un tas de ma maladie dans ce monde et nombreuses sont plus horribles et plus meurtrières que le Covid. Pourtant ce n’est qu’en 2020 que les gens se rendent compte de la pertinence de ce roman certains vont même jusque à dire que Camus était un visionnaire. Ce qui est pour moi faux car comme je l’ai dit précédemment Camus parle du mal en général. Ce n’est pas être visionnaire que de se douter que tant qu’il y a l’homme il y aura du négatif, du mal et de la douleur qu’importe sous qu’elle forme cela se pressente

Je pense donc que les gens compare ce virus au roman « la Peste » que maintenant car c’est l’un des rares virus qui touche toute la planète et qui handicape même les personnes qui ne sont pas touchées avec les divers restriction mise en place.

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