La mort libre
Discours : La mort libre. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Theo Phanh • 14 Novembre 2019 • Discours • 726 Mots (3 Pages) • 449 Vues
La mort libre
2017, une femme tétraplégique accompagnée d’une souffrance intenable son
sens de la vie est finie. Après avoir lutter et essayé tous les traitements
possibles sans succès, elle est destinée à rester morte parmi les médecins.
Tenant à la vie elle décide de ne pas la gâcher en finissant sa vie souffrante
et inactif après avoir réfléchi infiniment malgré ses difficultés à penser. Elle
décide de se libérer et d’accomplir sa vie, à son médecin elle lui demande
l’euthanasie. Elle a annoncé à ses proches sa décision, ses proches qui
n’arrive plus à supporter de la voir dans cet état. Après quelques discussions
avec le médecin, il répond : <<Je ne peux vous libérer, si je le fais, je serai un
tueur.>>
En France l’euthanasie active est considérée comme un assassinat, le
médecin est un tueur. Alors que le médecin qui laisse souffrir son patient, qui
lui contraint de sa liberté, fait de la non-assistance à la personne en danger
mais il n’a pas le choix. Le droit de mourir, un droit que les personnes en
excellentes santé ne comprennent pas. La seule personne à qui décidera si la
mort est comme elle le pense, c'est bien celle qui va mourir ou bien qui est
déjà mort. Le choix de mourir est pour la plupart des personnes très et
extrêmement réfléchis, un choix sur sa vie individuellement et nul n’a le droit
de s'y opposer, chacun et maître de sa vie. Le patient sait mieux que
quiconque ce qu’il désire. Il est si facile de parler mais si difficile de
ressentir... Le patient est torturé par sa maladie qui lui a déjà enlevé sa vie,
mais nous laissons une personne se faire torturer toute la fin de sa vie. On dit
souvent que si en France l’euthanasie était autorisée il y aurait un abus, ce
qui est faux, les gens tiennent extrêmement à la vie, les gens sont très
attachés à la vie. Ce n’est que quand malgré notre volonté on ne peut plus
donner sens à sa vie, etc., que la question se pose. Comme pour le cas du
droit d’avorter, il n’y a pas eu une foule de femme qui voulaient avorter car
l’avortement était l’égal. Permettre à un patient souffrant demandant
l’euthanasie, c’est le libérer. On a tendance à confondre les hommes en
difficulté mental etc. qui souhaite se suicider avec les hommes malades,
souffrants, affaiblis, épuisés, avec plus aucun désirs et plaisirs,
...