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La cour du lion, La Fontaine

Commentaire de texte : La cour du lion, La Fontaine. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Mai 2021  •  Commentaire de texte  •  2 251 Mots (10 Pages)  •  514 Vues

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La Fontaine écrit les fables dans un but éducatif, entre 1668 et 1694 : elles sont dédiées au dauphin, fils de Louis XIV.

La fable « La cour du lion » étudiée ici (la sixième du Livre VII, publié dans le deuxième recueil des fables en 1678) est inspirée d’une fable de Phèdre, « Le Lion régnant », mise en vers par La Fontaine et actualisée pour correspondre à la réalité de la cour de Louis XIV. Dans cette fable ferra une critique comme a son habitude de la cours mais dans cette fable ci sa sera surtout une critique du roi et de son coter tyrannique dont il a fait les frais quand il a défendu son amis Fouquet publiquement

Comment souvent, les personnages sont des animaux anthropomorphes, qui représentent le roi et ses courtisans.

Lire La cours du lion (texte)

I– la situation initiale

(Du vers 1 au vers 12)

A – La description d’un roi

D’emblée le personnage du lion, est présenté avec son titre de noblesse : Sa Majesté, au vers 1, et les détails choisis par le conteur , évoquent la monarchie absolue de droit divan de son époque (: le lion règne grâce au Ciel qui l’avait fait maître) . Le roi est, de fait , le suzerain de tous les seigneurs du royaume de France ; Ainsi, de toute nature, peut faire référence à la diversité des sujets du roi car il gouverne aussi bien les princes, les ducs, les comtes , les clercs, les paysans .Mais ici on peut voire une grosse critique sousjassante de l’auteur au roi car ils insinue que ce roi qui sous entendu est le roi de France ne connaît meme pas la nation qu’il gouverne .On peut nter tout de meme que apres cette critique virulante

B – description de la cours pleiniere V 9 a 12

on nous dis que le roi veut donc faire étalage de sa puissance et veux rendre la cérémonie attractive en offrant à ses sujets un fort grand festin, au vers 10 et des spectacles extraordinaires. L’hyperbole “fort grand festin “ marque le caractère quelque peu excessif de ce qui est promis .

• On peut d’ores et déjà , y deviner une satire des courtisans à travers ce singe dressé, Fagotin ,au vers 11, qui imite les gestes des humains , à la manière dont un courtisan s’efforce d’imiter les moindres gestes du roi et de copier son attitude .

Le conteur souligne les intentions du monarque-lion que les lecteurs avaient déjà devinées : “par ce trait de magnificence /le prince à ses sujets étalait sa puissance”. à la rime avec puissance , on peut peut être y lire l’idée que la puissance d’un souverain se mesure à l’éclat de ses fêtes . le roi souhaite que ses vassaux admirent le faste de la Cour (paralleur le surnom du roi Louis XIV, le roi Soleil , peut ainsi se lire , à la fois comme un symbole de puissance mais également d’éclat)

• Le vers 14 précise que le roi reçoit chez lui, dans son palais : son Louvre . A cette occasion, La Fontaine, en profite pour rappeler que contrairement à tous ses prédécesseurs, le roi a choisi de ne pas continuer à exercer le pouvoir au Louvre mais a préféré se faire construire un château digne de lui, à Versailles .

II – Un roi parent de caligula

(Du v.13 au v.32)

A – L’erreur de l’ours

(Du vers 12 au vers 19)

La phrase “Quel Louvre “ peut , dès lors , traduire différents sentiments . Si elle imite l’admiration, alors la suite du vers, nous révèle qu’ il s’agit d’ironie car la demeure princière est décrite comme nauséabonde.

• La suite du récit décrit les conséquences dramatiques des maladresses des courtisans : l’ours est d’abord choisi , au vers 16 , pour incarner les Puissants , les Grands de la Cour: il désigne les aristocrates redoutés, eux aussi , en raison de leur position dans la société animale; L’ours, en effet, est craint ; Dans d’autres fables, il est associé à des prédateurs aussi dangereux que le tigre, le côté exotique en moins ( cf Animaux malades ) . Paradoxalement, l’ours ici a fait preuve de délicatesse parce qu’il “ boucha sa narine “ C’est vraiment un trait humoristique de choisir , pour un ours, cette expression , qui souligne une forme de délicatesse car cet animal est plutôt associé à une forme de balourdise et de brutalité . Ce geste qu’il fait pour se protéger des odeurs pestilentielles de la Cour, va causer sa perte . le roi a ainsi jugé que quelque chose lui déplaisait dans sa demeur et il le fait donc tuer , pour un simple geste .

• la cruauté expéditive du monarque soulignée par différents procédés. Tout d’abord, le fabuliste précise, au vers 18, que le monarque est irrité : ce participe passé, à valeur d’adjectif ici, est l’une des principales critiques de la seconde partie du règne personnel de Louis XIV . Les colères du roi étaient particulièrement redoutées à la Cour et de nombreux personnages , notamment l’ami et le mécène de La Fontaine, Nicolas Fouquet, en ont fait les frais . Il donne ainsi l’image d’un pouvoir royal capricieux . La cruauté du roi est également illustrée par le recours à l’euphémisme du vers 18 l’envoya chez Pluton pour désigner la décision de le faire exécuter.

B – un singe flatteur execife

(Du vers 19 au vers 27)

On commence en nous disant que le singe comme nous l’avons deviner avant avec le fagotin qui imite les mouvement vas complimenter le roi pour l’odeur mais aussi pour le meurtre de l’ours d’ailleurs on peut noter l’habilite de jean de la

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