L'amour du jaloux est fait comme la haine

        «L'amour du jaloux est fait comme la haine» disait Voltaire. La jalousie, ce sentiment commun à tous les êtres, est souvent mis en avant dans des romans tels que Un amour de Swann de Marcel Proust, La jalousie d'alain robbe grillet, la chartreuse de parme de stendhal ou encore la princesse de clèves de madame la fayette. Dans chacun de ces textes ce sentiment paraît être présenté de la même manière.

La jalousie est-elle exprimer pareillement dans chacun de ces textes?

La souffrance des hommes jaloux et le rôle important de narrateur sont les deux axes sur lequel va porter notre questionnement.

        Ces quatre extraits de texte ont pour point commun la jalousie d'un homme envers sa femme infidèle. Ainsi leurs pensées sont énoncer au lecteur par le biais du narrateur. Dans La princesse de cleves il y a des adjectifs révélateurs des sentiments du personnage tels que tremblant, soulagement ou incertitude et dans la chrtreuse de parme on constate des termes comme hors de lui ou angoisses. Les pensées du perso sont exprimer afin de s'identifier a lui et comprendre ce qu'il éprouve.

        L'interrogation permet aussi l'identification. En effet dans trois des textes ommis la jalousie de alain robbe  on constate un champs lexical du questionnement : si, ne sachant pas, pensant, supposer, intrigue. On constate aussi dans un amr de swann et la chartreuse que les deux personnage se pose beaucoup de questions tels que « pourquoi n'avoir pas ouvert tout de suite ? » ou « dois je tenter de faire parler une de ses femmes ». Ces interrogations sont tout simplement le doute qu'ils ont enver leurs, ne connaissant pas la vérité ils s'interrogent.

        Ces personnages s'interrogent puis regrette leurs façon d'agir ou tout simplement l'acte qu'a commis leur femme. Ce regret est visible notamment a la fin de chaque extrait, après s'être questionner. Le texte de marcel proust nous prouve par sa dernière phrase que l'homme regrette son jugement dit « mal interprétéé »: « Il ne fut pas jaloux …. l'avait amené à supposer qu'odette avait pu le tromper ». Madame de la fayette quant à elle offre une fin pour le moins tragique puisque cette extrait se finit par une phrase de l'homme qui est : je suis le plus malheureux de tous les hommes ».

        Les pensées, leurs interrogations, leurs regret permettre au lecteur de ressentir les émotions de l'homme et on constate que tous ces textes semble commun sauf celui d'Alain robbe grillet.

        L'extrait de 'la jalousie' d'ARG est original contrairement aux autres textes, et cela garce au narateur. Le narrateur qui senmble être externe nous laisse imagine que c'est le mari de « A.... » qui est entrain de l'observer, ainsi l'auteur nous plonge dans l'ignorance mais aussi le doute qu'éprouve le mari envers sa femme qu'il pense infidèle. Aucune description sur ses pensées, ses doutes, ses interrogation, sur lui  y sont faites mais on peut néanmoins penser qu'il s'agit bel et bien du mari lorsque le narrateur décrit sa chevelure «les boucles noires et brillantes», il s'agit là d'une première description physique méliorative.

        Les narrateurs des autres textes sont différents. Ce sont eux qui décrivent le comportement des hommes, comme il a été dit avant ils décrivent les pensées, les interrogations. Dans le texte de madame de la fayette on constate un passage ou le narrateur décrit le personnage et ses réactions pour ensuite laisse place à un dialogue. Ce long passage montre que le narrateur connait le sentiment du personnage « il avait dessein d'aller interrompre monsieur » « il sentit du soulagement » « il ne demeurait pas longtemps dans cette incertitude ». Il s'agit là d'un narrateur omniscient qui sait tout et voit tout comme dans le texte de stendhal : «  le conte se fit reconduire au galop » « il cherchait a imposer silence à son coeur ». Ce texte est d'ailleurs aussi former de la même facon, le premier passage correspond à la description du personnage puis il y a une sorte de monologue ou le lecteur suit les interrogations multiples du personnage.

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