L'Afrique dans la monsialisation

Juan Camilo

Gonzalez Polo                                                                                                                                          TES2

Afrique dans la mondialisation

L’Afrique est toujours, et de loin, le continent le plus pauvre de la planète. L’Afrique est pourtant un espace d’une grande diversité, où les situations sont très variées. Le continent africain représente un marché de consommation important avec un milliard d’habitants et une classe moyenne émergente. Ce phénomène est d’ailleurs un signe de développement. De plus, la population africaine, caractérisée par une forte croissance (1 milliard d’habitants actuellement, 1,5 milliard prévu en 2030, 2 milliards pour 2050). Ainsi elle constitue une main-d’œuvre considérable permettant au continent de devenir peut-être « l’usine du monde ». Dans les deux documents suivants on  va voir deux différents points de vue sur la place de l’Afrique dans la mondialisation. Cela nous amène à la question : Est-ce que L’Afrique va-t-elle rester en marge de la mondialisation? Ou par contre sera-t-elle au contraire le continent émergent du XXIème siècle?

Le document 1 s’intitule « L’Afrique, géant ignoré de la mondialisation » écrit par Aboubaker Omar Hadi, président de l’Autorité des ports et zones franches de Djibouti et il a été publié le 2 janvier 2019. Ce document nous parle dans un premier temps sur l’importance développer et augmenter les aides internationales, donc d’un développement plus important des investissements en Afrique pour favoriser la prospérité du continent. L’Afrique se trouve naturellement dans un lieu stratégique, au milieu des échanges internationaux. En plus le continent le continent démontre de plus en plus sa capacité de favoriser à la création de richesses du monde. Cependant Aboubaker nous parle ainsi d’un paradoxe avec les Etats Unis qui font des investissements en Afrique mais qui ne leurs permettent pas de chercher d’autres investisseurs qui peuvent potentiellement leur donner un traitement comme des partenaires. Ensuite on peut constater qu’Aboubaker compare la situation de la Chine en 1973 avec la situation actuelle et future de l’Afrique ou le capital humain est en forte croissance et la population plus jeune ainsi en hausse. En plus l’Afrique à l’ intention de créer la plus grande zone de libre-échange du monde avec 55 états membres qui constituèrent un PIB de 3 300 milliards de dollars. De surcroit le docteur Denis Mukwege nous parle d’une perte des emplois et des richesses de l’Afrique lorsqu’elle la plupart de ses matières premières au lieu de profiter de manière interne toutes ces matières premières, un domaine où l’Afrique est très riche. Cependant cela est en train de changer grâce à la forte croissance de la classe moyenne africaine et donc de la consommation. Par exemple le vite développement du ferroviaire au Maroc ou les inaugurations de nombreuses ports en Afrique de l’Est fort signe de leur industrialisation. Le désir de l’Afrique pour s’intégrer à la mondialisation et devenir le continent émergent du XXIème siècle se traduit ainsi dans l’intention récupérer ses retards dans les infrastructures (ports les plus modernes d’Afrique, le premier train électrique transnational) ce que bénéficie les échanges internes de l’Afrique et aussi les échanges internationaux. Cependant les couts infrastructures se rapprochent aux 150 milliards de dollars par an et un déficit de financement de 68 à 108 milliards de dollars selon la Banque africaine de développement. En addition Aboubaker nous parler inquiétude dans le continent africain à cause de la dette qui possède l’Afrique et les véritables intentions  des anciens pays colonisateurs  qui ne sont pas conformes avec leur perte d’influence sur le continent. Pour confronter leurs dettes certains pays ont déjà mis en place des politiques de régulations pour les réduire.

Le document 2 s’appelle « Le sahel : Un territoire en marge et « notre futur Afghanistan ». C’est une interview fait en octobre 2015 à Serge Michailof Ex-directeur à la Banque mondiale et ancien patron de l'Agence française de développement (AFD), publiait dans son livre Africanistan. Dans cette interview serge Michailof nous parle des défis que posséderait l’Afrique dans l’avenir (hausse de la démographie, chômage massif de jeunes à demi-scolarisés…), en plus d’annoncer l’effondrement de l’Afrique auquel il compare avec l’Afghanistan. Lors du forum sur la paix et la sécurité de Dakar il parle sur les problèmes du Sahel. Il mentionne que un de plus grande problèmes c’est que chacun travaille en silo, le Budget et le Trésor. Ainsi il nous montre que le Sahel a une vision militaire. Serge Michailof remarque aussi l’importance de bien gérer ces pays pauvre pour potentialiser les aides internationales, éviter la corruption et l’inefficacité qui reine en Afrique face aux sommes de capital qu’ils reçoivent de la Banque mondial (50 millions d’euros). Une des conséquences de la mondialisation dans ce type des pays sont les guerres civiles et c’est là ou l’aide internationale joue un rôle majeur mais désormais sans expérience dans ce domaine. L’implosion du Sahel amènerait avec elle un grand impact sur l’Afrique de l’ouest mais aussi sur l’Europe et dans ce cas en France. Des pays qui devront souffrir des grandes vagues d’immigration provenant du Sahel ce qui amènerait selon Michailof a une rupture sociale en France à cause de la différence culturelle entre les deux pays ce qui pourrait entraîne des préférences vers les extrémismes politiques en France. Les pays du Sahel ne destinent pas la quantité nécessaire d’argent pour le développement rural, ce qui peut se comparer à la situation vécue en Afghanistan entre 2002 et 2007 ce qui nous amène à nous demander di l’avenir du Sahel va être comparable à celle de l’Afghanistan. Serge Michailof avertir sur l’afflux d’argent massif qui pourrait avoir le Sahel, ainsi que l’agriculture et l’industrie qui pourrons être un peu insignifiant. Selon Michailof on peut constater le Mali comme un « bon élevé » qui s’est dégrade par la perte nord de son territoire ce qui les a amenés des problèmes pour reconstruire ces institutions. Pour cela c’est importante de faire un deal avec le chef d’état et amener un personnel plus sérieux et efficace. En Afrique, très peu d’habitants des zones rurales possèdent de l’électricité (0,2%), ainsi l’agriculture se développe presque pas à cause du manque d’eau et investissements. D’après Michailof il faut trouver une place pour les jeunes des campagnes car la densité de population augmente de plus en plus en donc le chômage aussi. Les groupes illégaux (mafias) ne permettent pas de exercé le pouvoir d’état donc c’est nécessaire récupérer l’autorité et la démocratie cependant dans le cas contraire ils vont perdre le pouvoir ou la légitimité si les fonctionnaires ne réagissent pas à temps. En estimation dans 5 ans ça va être trop tard. Le chômage, la croissance démographique galopante et disproportionnelle et les différents cultes religieux créent de la confusion et l’inefficacité dans les fonctionnaires du Sahel. Malgré la croissance économique de certains nations africaines grâce aux exportations de matières premières ver l’étranger, l’importance d’avoir des objectifs à atteindre a cout et long terme est vitale pour améliorer les conditions qui se dégradent de plus en plus.

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