Incipit de La prose du transsibérien

VILLETORTE                                         FRANÇAIS

Quentin

1-S-SVT                                COMMENTAIRE COMPOSE

BLAISE Cendras est un poète du XXeme siècle. Il était connu comme ayant été un aventurier et qu’il avait voyager durant ça vie. L’extrait présente et l’incipit de La Prose Du Transsibérien De La Petite Jehanne De France qui est un poème en vers libres écrit en 1913 mais le Transsibérien fut fini en 1916 ce qui pourrai rependre un petit soupçon sur ce voyage.

C’est pourquoi, dans une première partie nous parlerons du voyage qui est présent dès le 3eme vers et après avoir analyser cette partie nous traiterons de la poésie.

        Dans  La Prose Du Transsibérien le poète veut nous faire voyager car il commence par nous mètre dans un contexte en faisant apparaître de nombreux repères autobiographiques « j’avais a peine seize ans »vers 2 et des repères géographique «Moscou» vers 4 ou encore dans le titre

« transsibérien » rappel le voyage et l’exotisme.

        Le champ lexical du voyage est très présent « gares » vers 5, « 16000 lieues » vers 3,

« voyage » vers 26, « mer » vers 27, ce qui montre un voyage dans l’espace.

La régression « tout dernier voyage »vers 26, « adolescence » vers 1, « enfance » vers 2,

« naissance » vers 3, ce qui montre un voyage dans le temps.

Nous évoluons donc avec le train :

«Jetait a Moscou dans la ville des mille et trois clochers

et des sept gares

et je n’avait pas assez des sept gare et des mille et trois clochers» vers 4, 5 et 6

Ces vers forme un chiasme qui définit un rythme respectif un peut comme un train.

Mais ce voyage a aussi un partie assez mystérieuse car faire ce voyage a due être périlleux car a cette époque, la Russie était en guerre avec le Japon. Ce pourrai être un moyen de réflexion pour la plus part des gents mais pour notre auteur cela ne nous paraît pas être une si grosse difficultés a surmonter.

        De plus le transsibérien fut achevé en 1916 soit trois ans après le voyage de Cendrars. De plus il dit qu’il n’a parcouru « 16 000 lieus » soit environ 77 248 kilométrés alors que terminé le chemin de fer fait ‘‘que’’ 9 000 km. Ce qui laisse des doute sur l’accomplissement de se voyage qui a l’aire d’être un rêve.

        Maintenant nous allons analyser les différents éléments qui rattache cet extrait a la poésie.

Cette courte partie nous dévoile plusieurs chose sur ce genre. Premièrement le titre, La Prose Du Transsibérien porte mal son nom car il n’est pas écrit en prose, mais en vers libre.

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