Fiche de Lecture Dans l'enfer des tournantes de Samira Bellil
Fiche de lecture : Fiche de Lecture Dans l'enfer des tournantes de Samira Bellil. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Solariew • 8 Janvier 2023 • Fiche de lecture • 483 Mots (2 Pages) • 270 Vues
A travers l’Histoire, de nombre régime totalitaire ont utilisé l’autorité de la parole à des fin plus ou moins grave, par exemple, les dirigeants soviétique attiraient les gens grâce à de la manipulation mentale ou physique, tout comme la manière dont est manipulée Samira Bellil dans son livre autobiographique intitulé Dans l’enfer des tournantes publié en 2002. Ici, nous allons étudier la façon dont l’écrivaine nous raconte comment ses agresseurs se servait de l’autorité de la parole pour la manipuler, nous verrons ceci à travers 2 paragraphes, premièrement, se qui fonde l’autorité de la parole, ensuite nous verrons se qui la fragilise.
Dans un premier temps, nous allons voir se qui, dans le livre de Samira Bellil, fonde l’autorité de la parole. Ici, l’autrice nous raconte la manière dont ses oppresseurs l’ont torturée psychologiquement en abusant d’elle, dans se qu’on appelle des « tournantes ». Le premier point essentiel est que les oppresseurs de Samira Bellil agissent collectivement, se qui les rends plus crédible, plus fort, et ce qui empêche l’écrivaine de se défendre, ensuite, l’autrice nous explique que les personnes qui ont abusé d’elle se sont servi du fait que Samira Bellil était, à ce moment, très faible mentalement, c’était alors bien plus simple pour eux, déplus, il est possible que la pression psychologique d’un groupe permette de convaincre certaine personnes de faire certaine chose.
Dans la première partie, nous avons pu constater que certain comportement pouvait contribuer à renforcer l’autorité de la parole, maintenant, nous allons voir que certaine attitude aurait tendance à la fragiliser de manière totalement irréversible.
Dans un second temps, nous allons maintenant nous intéresser à se qui, au contraire, fragilise l’autorité de la parole, dans l’autobiographie de Samira Bellil, premièrement, la violence, en effet, la violence est, comme le prouve Samira Bellil, n’est pas une manière de fonder l’autorité de la parole, mais au contraire de la fragiliser, en effet, Samira Bellil explique qu’à force de faire frapper, elle ne ressentait plus aucune émotion ni douleur, peu importe l’intensité des coups. Elle explique également qu’à la fin, avait tellement pris l’habitude des coups, des ordres et de la violence, qu’elle désobéissait à se que lui ordonnaient ses agresseurs. Les ordres répétés de manière constant sont également une manière pour fragiliser l’autorité de la parole
Enfin, nous avons étudié, dans ce premier paragraphe ce qui fonde l’autorité de la parole mais aussi, dans un second temps, ce qui la fragilise, en effet, nous avons constater qu’une surcharge d’atteinte physique était le meilleur moyen de perdre en autorité, et donc d’être beaucoup moins crédible, mais alors nous pourrions arriver à nous demander si des discours comme celui de la servitude volontaire par Étienne de la Boétie ne serait pas inutile pour faire réfléchir les gens sur l’autorité de la parole.
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