Exposition du stratagème de marivaux

EXPOSITION DU STRATAGEME

Marivaux est l un des + grands dramaturges français du XVIIIe s. Ses comédies sont a la croisée de la comedia dell’arte burlesque et d’ u théâtre galant et psychologique. Mariveaux interroge les pv du langage, l’opposition de l’être et du paraitre et les inégalités sociales, tout en amusant un public bourgeois. Les fausses conf est une comédie en prose et en trois actes.Dorante est un jeune bourgeois honnête mais ruiné. Il est engagé comme intendant par la riche Araminte, qu’il aime en secret. Le valais Dubois orchestre leur union amoureuse par une série de fausses confidences. Cette scène 2 de l’ acte 1 expose l’ intrigue de la pièce : Dorante aime Araminte et l’ ingénieux Dubois met en place un stratagème pour rapproché les deux jeunes gens.C’ est Dubois qui mène l’ affaire et qui mène son ancien mâitre. Déguisé en attendant, il est l’ exécutant d’une entreprise amoureuse dont il sera aussi le bénéficiaire.

COMMENT PAR LES POUVOIRS DU LANGUAGE, ANNOCE T-IL A DORANTE QUE LA DAME QU’IL AIME L’AIMERA ?

1. Dbois perso metteure en scène
2. Une scène d’expo qui présente les actants du stratagème
3. Dubois  une rhétorique de la manipulation

Cette scène d’expo surprend car elle inverse l’ordre social de l’époque : un bourgeois qui manque d’assurance est dirigé par un valet éloquent et ingénieux. Cette scène promet d’ une pièce comique mais aussi un jeu de tromperie  cruel qui oppose la confiance et la trahison, comme annoncé dans le titre oxymorique de la pièce, Les fausses confidences. Paradoxalement, la vérité du cœur va triomphé par le mensonge. Paracerque les normes de la société étouffent les élans amoureux, c’est kla tromperie qui permettra de faire surgir la vérité des sentiments.

• V rassure D => « votre mine est un Pérou »l.1. Réf exotique comique car haute en couleurs.

 Beauté de D = atout décisif

• V invite a admiré beauté D => «  tournez-vous un peu »l.1. empl.imp -> surprenant, Valet, souligne l’ascendant de Dubois sur Dorante qui le rend maître du jeu.
• Dubois : « notre affaire est infaillible, absolument infaillible »l.4, assurance, répétition « infaillible »           -> certitude ce qui surprend car l’ amour est perçu comme imprévisible
• Objections de Dubois révèlent la vulnérabilité du perso + éventuel échec du stratagème

_Obj d’ordre finacier : «  elle a plus de 50 mille livres de rente »l9 -> premier obstacle maj _Caractère de cette femme : «  elle est extrement raisonnable »l.11. appréciation moral de la dame                        

Dorante est bien amoureux de la dame + sensible à ces qualités

• Dorante = dominé par r sa passion => victime + souligne sa vulnérabilité « il tremble »l.15 exclamative
• « je connais l’humeur de ma maîtresse, je sais votre mérite, je sais mes talents je vous conduits » => on peut l’ assimilé a un nar omniscient. Ils sait tt
• Répétition  anaphore « je »l.17 => personnage central = celui qui décide du destin des perso
• Dubois met fin a sa tirade avc métaphore de combat «  fierté raison et richesse, il faudra que tout se rende »l.21
• Clôture de la tirade = lever de rideaux, la comédie peut alors commencé
• Double énonciation : «  Nous voila embarqués, poursuivons » l.23 ; tenir les spect en haleine en annonçant des péripéties à venir

ISSUE DU STRATGEME

Marivaux est l un des + grands dramaturges français du XVIIIe s. Ses comédies sont a la croisée de la comedia dell’arte burlesque et d’ u théâtre galant et psychologique. Mariveaux interroge les pv du langage, l’opposition de l’être et du paraitre et les inégalités sociales, tout en amusant un public bourgeois. Les fausses conf est une comédie en prose et en trois actes.Dorante est un jeune bourgeois honnête mais ruiné. Il est engagé comme intendant par la riche Araminte, qu’il aime en secret. Le valais Dubois orchestre leur union amoureuse par une série de fausses confidences. Au début de l’acte 3, Dubois se montre empréssé d’en finir. Le valet machiniste conçoit une nouvelle pièce à conviction. Il fait écrire une lettre à Dorante exprimant son amour, lettre qui selon le plan de Dubois, passe de mains en mains jusqu’à ce que son contenu soit révélé à tous.

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