Exemple oral bac blanc français

 Oral

Se présenter. 

        Pour commencer je vais vous déployer l’auteur courtement la vie de l’œuvre dont je vais vous parler.

Bernard-Marie Koltès est née le 9 avril 1948 à Metz, il fut dramaturge et comédien ainsi qu’écrivain dans le théâtre.

→En 1970, Koltès écrit L’Héritage que Maria Casarès lit pour la radio

→Ses premières pièces, expérimentales

→Le dramaturge, passionné par Shakespeare, Marivaux, Tchekhov

→Un auteur en rupture avec son époque

→ la solitude absolue de l’être ; les relations sentimentales obéissant aux lois de l’économie, de l’échange et du commerce ; le manque de communication ; la confrontation avec l’autre, l’inconnu, le marginal et l’étranger

Il mourut le 15 avril 1989.

Je vais vous dévoiler l’œuvre « Roberto Zucco » de « Koltès » écrit en « 1990 » !

La scène que je vais étaler est celle où la mère se fait tuer par Zucco.

Le problématique est « en quoi un tueur n’a jamais l’air d’un tueur ».

Je vais maintenant répondre à la problématique présentée auparavant tout au long de ce monologue.

Mais avant de rentrer dans le cœur du sujet, je vais vous lire un extrait de la scène concernée.

*lecture de l’extrait*

Nous pouvons remarquer que Zucco avant de tuer sa mère, il passe par plusieurs émotions, il commence par être doux puis de plus en plus agressif ensuite doux a nouveau et enfin il finit par étrangler sa mère.

J’ai essayé de réfléchir à pourquoi il avait assassiné sa mère et j’ai trouvé trois hypothèses : la première étant qu’il était venu pour récupérer ses affaires et éliminer toutes preuves pouvant conduire à son arrestation.

La deuxième figure dans le fait qu’il est juste très mal pris les propos de sa mère même s’ils sont justifiés.

Pour finir la troisième hypothèse se constitue des deux premières.

Sa mère demande pourquoi il tient absolument à récupérer et il répond simplement en disant qu’il a besoin. La question est pourquoi il ne dit pas la raison de ce besoin alors j’ai supposé qu’il voulût passer inaperçu chez les militaires pour partir plus facilement.

Ensuite, le long « monologue » de la mère de Zucco m’as laissé très perplexe face à la violence des mots prononcées d’une mère pour son fils. Effectivement, nous pouvons constater que sa mère n’acceptera pas les crimes de son fils ; elle dit clairement que ce n’est plus son fils et elle remet en cause le fait qu’elle est accouchée de lui. (On peut donc dire que la mère dit les quatre vérités à Zucco.)

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