En dévoilant la part obscure de leurs personnages, les romanciers nous donnent-ils accès à une meilleure connaissance de l’homme ?

ESSAI

En dévoilant la part obscure de leurs personnages,

les romanciers nous donnent-ils accès à une meilleure

connaissance de l’homme ?

Depuis que la littérature existe, le double apparait plus ou moins fréquemment en toutes époques. Pour dévoiler un être trompeur, un être maléfique, un mal aise du personnage face à sa part obscure et face au fantastique. Les romanciers ont offert diverses formes de double, certains ont même étudiés la manière dont les autres auteurs examinaient cette part obscure de soi. Serait- elle réelle ? Les romans fantastiques de double serait-ils en finalité des oeuvre d’étude du psyché de l’homme ? Apportent-ils une meilleure connaissance de celui-ci et est-ce seulement possible ? Descartes lui-même a tenté de cernés l’individu et ses spécificités dans Les méditations métaphysiques, de plus, Rosset, s’est exprimé sur ce sujet en affirmant que «le double manque à celui que le double hante». Entre autre, L’Étranger et Le Horla sont des oeuvres qui portent singulièrement sur le personnage et son rapport à lui-même, grâce à une certaine figure de double. D’autres oeuvres symboliques telles que Dr Jekyll et Mister Hide ou encore Le Portrait de Dorian Grey, qui elles sont plus fictives, amènent une présence visuelle plus marquée et différente des présences généralement évoquées, comme il est possible de trouver dans Le Poète où l’autre n’est qu’aperçus, pas par manque de temps, mais comme un mirage. Mais comment tant d’auteurs peuvent-ils s’interroger et répondre, à cette question de double avec toujours tant de rapprochement, est-il possible que le double ne soit pas pure fiction ? Les personnages de romans permettent-ils de mieux connaitre le double ? Permet-il de mieux comprendre les pensée, les réactions et les sentiments humains face à celui-ci ? Le romanciers n’a t-il pas des limites a la connaissance du double de l’homme ?

Les romanciers ont a travers le temps découpés des comportements, des pensées et des attitudes qui correspondent aujourd’hui à la présence d’un être maléfique nommé le double. Le double est une question générale et une des plus connues de la littératures. Elle intrigue, elle est a la racine fictive, pourtant, tout être a déjà su comparé des événements, des comportements eut qui ramèneraient a cette hypothèse. Le double est une confusion identitaire, il n’a n’y forme ni définition propre. Mais alors comment se rapproche t’ils tous tant d’un même sentiment, d’une même part de soi, la pire part. Celle-ci même qui serait présente en tout être, qui serait le pire de chacun, notre noirceur, la peur de soi, comme une ombre, celle-ci même qui se nourrirait de la haine enfouit en nous pour semer le chaos, cette haine et cette colère qui peut être trouvée en tous, sans cette littérature, saurions-nous seulement qu’elle est propre à chacun tout en étant universelle ? En effet, le personnage de roman permet évidemment d’approfondir notre connaissance de l’homme et de son double. C’est dans la littérature qu’il est le mieux et le plus souvent représenté, celle-ci offre la possibilité d’avoir une pensée sur le double plus correct bien qu’il n’y en ai de formulation exacte. Les personnages de romans illustrent et font naitre le double, ils l’interprète, le renie et le combattent a la fois. Les romanciers utilisent des mots forts afin de marquer et de faire comme ressentir au lecteur l’émotion que peut ressentir son personnage, certains jouent sur les pronoms de «je» et de «vous» afin de plonger intégralement le lecteur

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