Ecriture poétique et quête de sens, du Moyen Âge à nos jours.
TD : Ecriture poétique et quête de sens, du Moyen Âge à nos jours.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mathieu Perrin • 5 Mai 2016 • TD • 1 188 Mots (5 Pages) • 1 434 Vues
SÉQUENCE n° 1 : poètes en prison. |
Objet d’étude : écriture poétique et quête de sens, du Moyen Âge à nos jours. Perspective dominante : la poésie lyrique et engagée. Perspectives secondaires : registres (lyrique, pathétique, épidictique, polémique et satirique) ; les formes poétiques ; l’écriture et le poète ; le poète dans la société. |
LECTURES ANALYTIQUES |
A.OEUVRE INTÉGRALE : Paul VERLAINE, Cellulairement, Le Livre de Poche, Les Classiques de Poche, édition d’Olivier Bivort, 2001. ➢ problématiques : comment le poète décrit-il et juge-t-il le monde qui l’entoure ? Comment rend-il compte de la place de la poésie ? • « Impression fausse », pages 150-151. • « Autre », pages 152-155. • « La chanson de Gaspard Hauser », pages 160-161. • « L’Art poëtique », pages 204-207. |
B.GROUPEMENT de TEXTES : Poètes en prison. ➢ problématique : comment les poètes remettent-ils en question le monde qui les entoure ? • François VILLON, « L’épitaphe Villon » (vers 1463), page 234. • Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, SPLEEN LXXVIII (1857, réédition 1861), photocopie. |
ACTIVITÉS COMPLÉMENTAIRES |
℘ Poèmes d’écrivains cités dans la petite anthologie Poètes en prison (2003), photocopies : RICHARD Ier Cœur de Lion, Charles d’ORLÉANS, Clément MAROT, Théophile de VIAU, André CHÉNIER, Oscar WILDE, Guillaume APOLLINAIRE, Nazim HIKMET, Yannis RITSOS, Miguel HERNANDEZ, Primo LEVI, Bob KAUFMANN, Armando VALLADARES, Albertine SARRAZIN, Mahmoud DARWICH. |
℘Joachim DU BELLAY, Défense et illustration de la langue française (1549), extrait photocopié. ℘Nicolas BOILEAU, L’Art poétique (1674), extrait page 294. ℘André BRETON, Manifeste du surréalisme (1924), extrait photocopié. ℘Paul Verlaine, « Au lecteur », Cellulairement (1873-1875), pages 146-149 ; « Le ciel est, par-dessus le toit,…», Sagesse III (1973), pages 290-291 dans l’édition Livre de Poche 2001. |
℘Portraits de Verlaine (contemporains et posthumes). ℘ Vincent Van Gogh, Cour de prison, huile sur toile, à Moscou, musée Pouchkine, 1890. |
℘Lecture de quelques poèmes de recueils de Verlaine (Poèmes saturniens, 1866 ; Fêtes galantes, 1869 ; Romances sans paroles,1874 ; Sagesse, 1880) et du recueil Illuminations (1895) d’Arthur RIMBAUD. |
SÉQUENCE n° 2 : la figure du monarque despotique au théâtre. |
Objet d’étude : le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours. Perspective dominante : le théâtre comme lieu de réflexion politique. Perspectives secondaires : évolution du genre (théâtre antique, théâtre classique, drame); genres et registres (comique, polémique, satirique, tragique) ; le théâtre de l’absurde. |
LECTURES ANALYTIQUES |
➢ problématique : comment le théâtre de l’absurde traite-t-il la figure du tyran ? • Extrait 1, Un valeureux seigneur écossais : pages 20-22 (« Macbett entre par le fond […] Macbett prend l’épée. »). • Extrait 2, Une perspective de pouvoir inattendue : pages 43-45 (« Salut Macbett, baron de Candor ! […] Il sort par la droite. »). • Extrait 3, Les reproches du passé : pages 97-99 (« Apparaît subitement Banco. […] Banco disparaît. »). •Extrait 4, Remords du despote ? : pages 105-107 (« Fanfares. […] Macbett s’écroule. »). |
➢ problématique : comment le théâtre permet-il de représenter l’exercice despotique du pouvoir ? • CAMUS, Caligula, acte IV, scène 14 (1944), page 225. |
ACTIVITÉS COMPLÉMENTAIRES |
℘William SHAKESPEARE, Macbeth (1606). ℘ Alfred JARRY, Ubu Roi (1896). |
℘Extraits de Rhinocéros et exemple de mise en scène (cf. manuel pages 216-217 ). |
℘Lecture d’image : Equipo Cronica, L’intrus (1969). ℘Ionesco parlant des personnages de Macbett le 19 mars 1972 (source vidéo INA). ℘Projection d’extraits de diverses représentations de la pièce (2010 à 2013). |
℘ biographie d’Eugène IONESCO. ℘autres pièces de Ionesco : La cantatrice chauve (1950), La leçon (1951), Les Chaises (1952), Rhinocéros (1960), Le roi se meurt (1962). ℘ Camus et l’Absurde. |
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