Corpus, vision des hommes
Commentaire de texte : Corpus, vision des hommes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SariSardine • 17 Avril 2017 • Commentaire de texte • 836 Mots (4 Pages) • 1 387 Vues
Nous avons à faire ici à un corpus de trois textes portant sur une représentation du pouvoir du roi. Le premier texte écrit par Voltaire, Zadig ou la Destinée datant de … ; le deuxième texte Remontrance au roi, écrit par le Cardinal de Retz en 1657 et le troisième texte Le cid écrit par Pierre Corneille publié en 1637. Les trois textes allant du conte philosophique au discours, passant par la pièce de théâtre nous donne une vision des hommes de pouvoir de cette époque.
Tout d’abord, les trois extraits donnent chacun à sa manière une représentation pessimiste du pouvoir même si les trois rois n’ont pas la même attitude par rapport à l’exercice du pouvoir. Le roi est un homme de pouvoir mais qui est un homme aussi juste qui veut faire respecter la loi chez Zadig nous le voyons grace aux cham lexical de la justice et de la loi : « remercié », « Quand il jugeait une affaire, ce n’était pas lui qui jugeait, c’était la loi ; mais quand elle était trop sévère, il l’a telmpérait » Zadig a une volonté de bien faire, il veut la vérité et riee d’autre. Alors que nous avons tous le contraire dans les deux autres textes. Avec le cardinal de Retz, cet aspect de contre la paix est poussée à l’extrême : « dont il n’avait pu empêcher le succès que par une déclaration publique de son aversion à la paix générale », il ne veut pas de paix.
Deuxièmement, les auteurs montrent que le règne de l’arbitraire est dominant. Toutes les décisions sont prises par le souverain. Il n’y a aucune justice, le cardinal de Retz nous l’explique directement grâce à une gradation : « il ne fallait que tout brouiller, ne faire jamais de paix, et renverser le monde », il nous explique que d’abord il y a juste des petits désaccords puis si rien ne s’arrange tout peut se renverser, « les rois veulent être absolus » nous dit Don Arias,
Troisièmement, la toute puissance du souverain est omniprésente dans les trois textes. Le roi doit avoir tous les pouvoirs, c’est lui qui dirige et personne d’autres. Dans Le cid, nous avons le champ lexical de la puissance du souverain : « la puissance du roi », « absolus », « le roi peut, à son gré, disposer de ma vie », il y a aussi ce même champ lexical dans le texte du Cardinal de Retz : « autorité », « ordre », gloire », « majesté ». Tout ses mots pour montrer qu’il n’y que le roi qui a toute la puissance et donc l’autorité pour digéré un peuple.
Ensuite, les trois extraits nous montre la vision extérieure de l’autorité du roi. Nous avons vu que le roi a tout les pouvoirs alors que les autres personne de la cour n’ont presque aucun droit. Les gens de la cour vont éprouver de la jalousie pour ces souverains. Dans le texte de Voltaire il nous l’explique grâce à une belle exagération : « Tous les courtisans furent fachés ; l’envieux en eut un crachement de sang, et le nez lui enfla prodigieusement. » cela nous montre que les courtisans étaient énervés que ce soit lui qui a tous les pouvoirs qui puissent diriger l’Etat et que eux n’ont rien à dire, Pierre Corneille nous le démontre avec une phrase très claire : « … »
Il n’y a pas que les courtisans qui sont jaloux, le peuple à beaucoup de haine contre le roi qui ne leur laisse aucune liberté d’expression. Ceux-ci est très bien dit dans le discours du cardinal de Retz : « par la haine de tous les peuples », le peuple pense que tout est de la faute du roi.
Pour finir, des personnes pensent tout de même être au même niveau que le roi. Nous le voyons suffisamment dans le texte de Pierre Corneille, il nous l’explique avec une formidable métaphore : « Et ma tête en tombant ferait choir sa couronne », Il nous explique que si lui il tombe tout le monde tombe c’est à dire qu’il est égal au roi ce qui est totalement faux. Voltaire veut nous montrer que chez lui toutes les femmes l’acclamèrent pour être au niveau du roi mais pour une toute autre raison : Zadig était très jeune et donc toutes les belles femmes voulait passé un peu de temps avec lui : « toutes les belles dames de Babylone applaudirent à ce choix » c’est aussi une forme d’égalité car elles veulent être au même niveau que lui.
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