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Corpus Prévert

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Par   •  5 Février 2017  •  Commentaire de texte  •  2 733 Mots (11 Pages)  •  3 474 Vues

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L'amour dans Paroles

  1. L'amour, une puissance souveraine

  1. L'amour, le soleil

 

        Le poème « cet amour » de Jacques Prévert, compare continuellement le soleil et l'amour : « beau comme le jour » (vers 7). La beauté de l'amour est celle du soleil qui nous permet d'avoir de la lumière et donc de vivre. Le fais que l'amour soit bien ou non dépendrai du temps extérieur. Nous observons une énonciation du vers 10 à 14 : « si vrai, si beau, si heureux, si joyeux ». Lorsque le soleil brille nous pouvons ressentir toutes ces qualificatifs qui ont été déclarés concernant l'amour. Le vers 15 nous laisse croire que l'amour est terrifié, impuissant lorsque le soleil est couché car il est comparé à un enfant qui tremble en l’absence du soleil. « Et tout ensoleillé » (vers 27), une fois de plus Jacques Prévert fais révérence à un amour illuminé par le soleil. Tout au long du poème, le temps est évoqué sous différent aspect : « n'a pas changé, oublier, vieillir... », du fais que le soleil ce lève tout les matin et fais avancer le temps. Nous pouvons supposer que lorsqu'il est dis « ne t'en va pas » au vers 82, il est fais référence à l'amour et au soleil. Demandant à ce qui fais son bonheur de rester. Le vers 86 et 87 fais un rapprochement avec ce que nous possédons de sûr sur la Terre et le froid qu'il y aurais si le soleil était emmené à disparaître. De plus, nous constatons que « le jardin » du même auteur dispose des même caractères. En effet, il est question d'un souvenir lié à l'amour qu'un individu ressent. Au vers 1 « Des milliers et des milliers d'années » donne également une idée de temps. Le soleil est un élément essentiel là dedans et permet à un amour de duré ou non. «La petite seconde d'éternité » renforce cette idée puisque un événement à eu lieu durant ce laps de temps. Le poème se « dans la lumière », l'amour prend effet à un endroit ensoleillé. Enfin, « L'automne » partage le même thème. Celui-ci énonce une idée très brève où l'amour est en harmonie avec le soleil : « Notre amour frissonnes Et le soleil aussi » (vers 3 et 4).

  1. L'amour, la liberté

        Dans tout les poèmes proposés les figures féminines présentes une caractéristique commune. Effectivement, « Pater Noster » parle d'une « jolie femme nue ». « Dans ma maison », il est fait mention sûrement, d'une femme ayant les lèvres rouge. Celui-ci lui fait la demande de retirer tout ses vêtements et donc d’être nue. « La crosse en l'air » évoque « une fille » qui est jolie. Elle est « toute neuve toute joyeuse toute nue ». « Vous allez voir ce que vous allez voir », il est fait question d'une « fille nue » qui nage dans la mer. « La rue de Buci maintenant », parle d'un homme observant une présumé femme qui « paraissait nue » sous sa robe. « Noces et banquets », ici nous retrouvons une fille « qui est là très belle et aussi nue ». Enfin, « Lanterne magique de Picasso » parle d'un animal donc d'un vivant qui caresserai « une fille neuve et nue ». Chacun de ces poèmes nomme « des filles » qui sont déclarées explicitement ou implicitement par l'auteur. Néanmoins elles sont toutes décrient avec l'aspect de nudité.

Chaque poème ne parle pas de cela de la même façon. Dans certains des poèmes il est réellement question de femme nu comme dans « Vous allez voir ce que vous allez voir », ou dans « La rue de Buci maintenant ». Cependant, dans « Noces et banquets » on constate que Prévert évoque une fille innocente, non « abîmé » par la société actuelle plutôt qu'une fille nue physiquement. On retrouve cela aussi dans « Lanterne magique de Picasso » où on lit qu'un animal touche une créature divine, il caresse la pureté.  

« Je suis comme je suis » exprime un refus des convenances. Jacques Prévert déclare un personnages féminin qui rigoles lorsqu'elle en à envie, sans se soucier des pensées des autres. Il y a une énonciations des critères qui ne rentre pas dans les normes de la société dû à la répétition de « trop » : « Mes talons sont trop hauts Ma taille trop cambrée... ». Le vers 30 : « Pourquoi me questionner ? », aucune remise en question est évoquer. Tout au long du poème le personnages dit être comme il est et plaire à qui le veut sans se préoccuper des conditions qu'il ne remplit pas. Il n'est pas touché par le conformisme.    

  1. L'amour force protectrice

        « Osiris ou la fuite en Égypte » donne l'impression que les amants vivent dans une bulle de bonheur qui les préserve du monde extérieur. En effet, la situation de guerre est en été. La guerre est une torture mais l'été c'est des moments chaleureux. Cela qui renforce l'idée d'un paradis inatteignable.  Jacques Prévert parle de « ville isolée » tel qu'elle pourrait ne pas être atteinte par la guerre, un endroit de sécurité. Au vers 4 et 5 on découvre un sourire, un verbe répéter à plusieurs reprise. Le sourire se rapproche à la joie, l'être qui est heureux sourit. « Un hommes avec une femme », une notion d'amour est délivré au vers 9. Ceux là marchent dans un musée qui à sûrement été déserté du fais que la guerre soit présente (une hypothèse confirmer au vers 11 « ce musée désert »). Ils seraient donc seuls dans un endroit clos qui les éloigne du monde extérieur. « La fraîcheur du monde Est là tout endormie », cela n'atteint pas « la chaleur » qu'ils peuvent éprouver. Puis il y a l'apparition d'un gardien, celui-ci tombe dans un rêve profond. Cela prouve que même un événement incontrôlable ne traverse pas « leur bulle ». « La merveille de l’Égypte » est par eux vue, c'est une merveille qui illustre leur relation. Il y a une opposition entre vivant « Osiris vivante » et mort « bois mort ». Le monde extérieur est mort, étant vivants les amants en font abstraction (« Et les amants s'embrassent »).

  1. L'amour, un joyeux cataclysme

        « Lanterne Magique de Picasso » fais constamment des paradoxe. Jacques Prévert nous parle « D'un monde mort sur pied », un corps sans vie, inanimé n'a pas la vivacité pour tenir debout. « Noyé carbonisé aux mille feux de l'eau », or se sont deux éléments contraire. Nous pouvons également mettre l'accent sur une « explosion sociale ». L'auteur dénonce les injustices, « le sang » se rapporte à une souffrance sans fin qui coule naturellement dans les veines du monde. A la page 247, on a en tête l’abstrait des tableau de Picasso : « ses jambes à son cou », « Les pieds levés au ciel ». Cela permet de dire que c'est une explosion corporel, comme si les sensations étaient tellement forte que le corps devient incontrôlable.  

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