Compte rendu de l’extrait d’Amin Maalouf

Compte rendu de l’extrait d’Amin Maalouf

Le texte, les identités meurtrières, d’Amin Maalouf publié en 1998 porte sur les éléments d’identité et leurs différences dans les cultures.

Premièrement Amin Maalouf explique que l’identité n’est pas donnée une fois pour toutes. Il dit qu’elle se transforme tout au long de son vie et que les éléments de notre identité qui sont déjà en nous à la naissance ne sont pas très nombreux. Donc même les caractéristiques physiques, le sexe, la couleur etc. ne sont pas inné. Ce sont nous qui déterminons le sens de notre appartenance. On ne peut pas vivre de la même manière sa féminité, ni aucun d’autre élément de son identité dans tous les pays du monde. Par exemple un naître noir à New York ou à Luanda n’a pas la même signification, il ne s’agit pas de la même couleur.

Bref, on peut trouver beaucoup d’autres exemples qui montrent que les éléments d’identité sont différents dans chaque pays, quelque fois aussi dans chaque région.

Deuxième chose qu’il a écrite traite l’apprentissage de l’identité. Il commence très tôt, dès la première enfance. Ce sont les siens qui le modèlent, le façonnent et lui inculquent des rites, des attitudes, des conventions, la langue maternelle et puis des préjugés, des rancœurs, des frayeurs ainsi que divers sentiments d’appartenance.

Tant il est aussi vrai que ce qui détermine l’appartenance d’une personne à un groupe donné, c’est l’influence d’autrui et des proches comme les parents. Donc chacun d’entre nous doit trouver son chemin entre les voies où on le pousse. Il devient ce qu’il est et il prend conscience de son identité.

Finalement Amin Maalouf fait beaucoup d’exemples qui montrent très bien lesquels éléments d’identité il veut illustrer les gens. D’abord pour un enfant qui voit le jour au Nigeria, l’élément le plus déterminant pour son identité n’est pas d’être noir plutôt que blanc, mais d’être yoruba plutôt que haoussa. Ensuite pour un naître noir en Afrique du Sud la couleur joue un grand rôle, la couleur demeure un élément significatif de l’identité à cause de l’apartheid dans les années 40 jusqu’aux années 80.  

En outre il écrit que c’est surtout chez les Blancs que l’origine ethnique est déterminante pour l’identité.

Donc toutes ces explications nous montrent qu’on a beaucoup de différences dans nos identités qui parfois s’avèrent formatrice mais qui peut aussi blessent pour toujours.  

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