Commentaire littéraire acte II scène 5 l'école des femmes

Lou

Denise

Commentaire littéraire

    Au 17e siècle les mariages entre un homme âgé et une très jeune femme étaient encore courant, c’est à partir de cette situation que Molière a écrit L’école des femmes.  Dans ce commentaire littéraire je vais étudier l’acte ll scène 5  de l’école des femmes, sur deux partie l’une qui se concentrera sur l’aspect interrogatoire de la scène et l’autre sur le ridicule d’Arnolphe.    

    Nous voyions bien dans cette scène qu’Arnolphe  cherche à en savoir plus. Il interroge Agnès, nous pouvons  voir beaucoup de phrase interrogative comme : « Quoi ? C’est la vérité qu’un homme… ? » (vers 475).

Nous pouvons voir qu’Arnolphe s’impatiente assez vite, il utilise beaucoup de stichomythie et d’aparté pour montrer sa « douleur » : « cet aveu qu’elle fait avec sincérité me marque pour le moins son ingénuité » (vers 477)

« La promenade est belle

Fort belle        

Le beau jour

Fort beau » (vers460).

    Nous  avons la confirmation que cette scène est un interrogatoire par l’aveu d’Agnès, elle n’avoue pas vraiment être amoureuse de lui mais les lecteurs et Arnolphe l’ont bien comprit grâce au portrait élogieux qu’elle fait de lui, elle utilise beaucoup de termes mélioratif et d’hyperboles : «Un jeune homme bien fait, qui rencontrant ma vue » (vers 487).    

     Dans cette scène Arnolphe ce ridiculise tout le long, par exemple le quiproquo du ruban (vers 571 à 579) nous montre qu’il est vraiment obsédé par le cocuage, se passage est comique grâce aux  stichomythies et évidement au quiproquo.

     On voit aussi que la relation entre eux  est bien plus celle d’un père et sa fille que de future mariés.

     Avec ça, Agnès ne vas pas aider Arnolphe à être plus crédible car son innocence et sa nativité la font exposé toute la vérité et donc embarrasser  Arnolphe.

Conclusion, c’est une scène d’interrogatoire qui utilise différent comique et principe théâtral afin de faire  avancer’ histoire et de montrer un peux plus qu’Arnolphe à tort.

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