Commentaire Littéraire ; La mort du roi Tsongor

Commentaire Littéraire ; La mort du roi Tsongor

*ne s’écrit pas sur copie

Intro : Ce texte est un extrait du roman « La mort du roi tsongor », paru en 2002, et écrit par Laurent Gaudé né en 1972. « La mort du roi tsongor » appartient à la littérature contemporaine, et à reçu le prix Goncourt des lycéens 2002. C’est un récit épique et tragique accompagné de légendes et mythes dans une Afrique ancestrale. Il raconte l’histoire de la famille royale, qui règne sur ce continent entier ; les Tsongor. Une famille qui fut détruit par la guerre qui opposait les deux prétendants aux mariage de la princesse ; Samilia. Souba, le plus jeunes des princes fut missionné par son père de construire sept tombeaux à l’image de ce dernier dans le royaume entier. Dans cet extrait du chapitre VI « la dernière demeure », le narrateur décrit le retour de Souba, nostalgique, après son grand voyage dans sa ville natale qui a été dévasté par la guerre. Comment, dans cette fin pessimiste, la destruction de Massaba , la capitale du royaume est mise en avant . Nous étudierons le retour d’un homme devenu adulte après un long voyage dans sa ville natale avec beaucoup de nostalgie. Ainsi que la contemplation des ruines d’une civilisation détruite, retournée à l’état sauvage.

Annonce de la première partie Après de très longues années, Souba à accompli la mission que son père lui avait confié, et arrive enfin aux pieds de sa ville natale.

Souba revoie Massaba, suite à son long voyage, la terre dont il avait beaucoup rêver. En effet «une vie entière avait passé »l.5 « sa mule avait vieilli »l.2 « elle avançait moins vite […] et était devenu presque aveugle »l.3 et « les huit nattes des femmes de Massaba, au fil du temps avaient blanchi »l.4. Le narrateur met l’accent sur la vieillesse de la mule et des huit nattes pour marquer combien ce périple fut long . Cela accentuent l’impatience de ce dernier ainsi des lecteurs de découvrir Massaba.

Malgré une grande envie « de revoir sa terre natale [ Souba était ] inquiet de ce qu’il y découvrira »l.2. Mais il continu à marcher sur le dos de sa mule sur « les chemins du royaume sans jamais hésité »l.3. Malheureusement la déception vient dominer l’impatience de découvrir Massaba. En effet la ville natale de Souba est comparé à « un petit amas de pierre étriqué »l.6 avec une « plaine vide » où « seul les murailles avaient gardé leur silhouette imposante » qui rappelle la puissance de l’ancienne Massaba opposé aux « maisons à moi tiers détruites » qui illustre la chute d’une puissance donc d’un empire. Le narrateur relate les souvenirs de Souba sur sa ville ; « il n’y avait plus ces villages de tentes qui autrefois se pressaient au pied de la cité, […] le tracer des routes qui autrefois, charriaient des foules » l8-9. L’auteur à recours à l’adverbe de temps « autrefois » qui marque un passé révolu. Massaba est donc réduis à un « amas de pierre étriqué »l.6 qui répond à l’inquiétude de Souba rêvant depuis si longtemps de retrouver la « cité »l.8 de son enfance.

Bilan de la partie 1 + transition vers la partie 2 La découverte de Massaba est une désillusion totale pour Souba qui voit tout ces souvenirs d’enfance détruits,

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