Commentaire Caligula : scène 4 dernier acte
Commentaire de texte : Commentaire Caligula : scène 4 dernier acte. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar 1ereS08 BOUZIDI IDRISSI Lamyae • 18 Juin 2016 • Commentaire de texte • 967 Mots (4 Pages) • 1 843 Vues
INTRODUCTION :
XXeme s , la carrière d’Albert Camus est remarquable par sa grande diversité et par le chemin qu’il a parcouru , de l’enfant des quartiers pauvres d’Alger au prix Nobel de littérature . Camus s’exprime dans des genres différents comme l’essai philosophique , le roman et le théâtre . Il publie en 1944 Calicula , pièce en 4 actes et en prose inspiré de l’histoire des douzes césar de Suétone mais aussi des préoccupations personnelles de l’écrivain comme l’aggravation son état de santé et la difficulté de concilier le bonheur et le tragique de l’Homme . Dans la scène 4 du dernier acte , nous sommes face au dénouement ou le personnage principal marque sa révolte contre le destin ce qui donne à la pièce une empreinte grotesque car Caligula n’est pas fou dans le sens commun mais au contraire , il suit sa propre logique et son insatisfaction va le mener à un destin tragique .
Une mort en scène
1) Mort spectaculaire
Dénouement rapide
Caligula : tyran se retrouve seul face à lui même ( mis en évidence par le miroir )
il tourne sur lui même et fais des va et viens . Tout est centré sur lui et sur le meurtre « Caligula , toi aussi tu es coupable »
il reconnait sa culpabilité , il est centré sur le meurtre « des bruits d’armes »
Homme peureux « j’ai peur » / il cmc a ressentir les mm sentiments de ceux qu’il a toujours méprisé « quel dégout … dans l’âme »
Sa vrai nature ressurgi à travers « mais » qui introduit « cela ne fait rien » : moment de peur ne durera pas avec « je vais retrouver ce grand vide ou le coeur s’apaise » qui montre sa vrai nature .
2) L’autre moi
le héros « semble plus calme » , il recommence à parler dans une sorte de méditation « tt à l’air si complique .. tt est si simple »
Il se focalise sur 2 hypothèse introduites par conjonction de subordination « si » 1) regrette de ne pas avoir eu la lune « si j’avais la lune » 2) regrette l’amour « si l’amour suffisait »
II) Une lucidité paradoxale
Une folie destructrice
L’empereur est loin de retrouver sa raison face au miroir : il se parle à lui même et s’auto-accuse « toi aussi tu es coupable »
Son reflet devient son seul interlocuteur qu’il tutoie « tu le vois bien » ( l.6) « tu le sais aussi » ( L.25)
Il confie sa crainte , lui qui na peur de personne « j’ai peur »
Humanité prend l dessus à un moment de faiblesse « il tend sa main en pleurant … reprend le dessus »
cpdt meme ce sentiment humain ne trouvera pas sa place chez lui « sa peur non plus ne durera pas »
Sombre de + en + dans discours absurdes « si j’avais eu la lune »
Il ne se confie qu’à son refleet «
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