Comment « La musique » mêle-t-elle le désirs hérotiques de Rimbaud et sa vision de la société ?
Fiche de lecture : Comment « La musique » mêle-t-elle le désirs hérotiques de Rimbaud et sa vision de la société ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SIsosou • 10 Avril 2018 • Fiche de lecture • 473 Mots (2 Pages) • 775 Vues
Comment « La musique » mêle-t-elle le désirs hérotiques de Rimbaud et sa vision de la société ?
Bonjour,
Aujourd'hui je vais vous parler d'un poéme de Arthur Rimbaud, ce poéme s'appelle « La musique », et je vais vous démontrer en quoi Rimbaud réussi t'il a méler ces désirs hérotisques et sa vision de la sociéter.
1-Société
Dans ce poéme Rimbaud critique la bourgeoisie et cela dés le vers 3 ou il dit « Tout les bourgeois », puis vers 4 « portent les jeudi soirs leurs bétises jalouses »
il va ensuite nous parler de plusieurs personne aisée tels que « les rentiers à l'orgnon » vers 9 qui vont « souligner tout les couacs », les rentiers ne travaillant pas jugent l'orchestre militaire et le critique en soulignent leurs couacs.
Vers 10 nous retrouvont « les gros bureaux bouffis » qui sont des personnes travaillant dans des bureaux. Eux « trainent leurs grosses dames », Rimbaud appuis le fait qu'ils soient gros en le répétant deux fois, il dénonce ici la richesse de ces personnes qui s'engraisse.
La diéresse a « O ffI cI eux » accentue l'adjectif péjoratifs des cornacs.
Nous trouvons ensuite « les cornacs » figure de style familière qui désigne des personnes qui prône et font l'éloge de leurs grosse dames.
On retrouve un rapport a l'argent « avec prise en argent ».
Rimbaud nous reparle d'un bourgeois au vers 18 : « un bourgeois a bouton clair, bedaine flammande. » Comme les bureaux Rimbaud soulignent l'obésiter de cette personne en rapport a sa richesse. Celui ci « savours son onnaing d'ou le tabac par brins déborde » , Rimbaud souligne l’excès de cette richesse en utilisant un rejet ou « le tabac par brins » déborde au vers suivant.
2-Les désirs hérotiques de Rimbaud.
Aprés avoirs observer et critiquer la société, Rimbaud va nous parler de ces désirs hérotiques. Il y a une opositions au vers 25, entre ce qu'il décris et ce qu'il ressent: « Moi, je suis, débraillé comme un étudiant » il faut savoir que lorsqu'il écrivait, Rimbaud était qu'un adolescent.
Il observe les jeunes filles : « Les alertes fillettes » vers 26, il va ensuite s'imaginer des choses indiscrétes « Vers moi, leurs yeux tout pleins de choses indiscrètes » vers 28 et, « je regarde toujours la chair de leurs coups blanc brodé de mèches folles » vers 29/30.
On va ensuite suivre l'imagination indiscrète de Rimbaud, « je suis sous le corsage frêles atours, le dos divins après la courbe des épaules.
Il va reconstruire leurs corps de haut en bas ;
«Brûler de belles fièvres », ou il accentue ces pulsions sexuelle.
Il va même a la fin du poème dire : « et mes désirs brutaux s'accrochent a leurs lévres » ; avec désirs brutaux qui renvoi a des pulsions primaire et réve de les embrasser avec « s'accrochent a leurs lévres » et le verbes s'accroche et quand mêmes assez fort, brutal
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