Comment Albert Cohen à travers son testament littéraire lègue t-il une idée de compassion universelle ?

Commentaire littéraire (chapitre 70 Albert Cohen)

Problématique : Comment Albert Cohen à travers son testament littéraire lègue t-il une idée de compassion universelle ?  

Introduction :

La communauté juive, comme vous le savez sûrement déjà, à été plus que malmener pendant la seconde guerre mondiale. L’antisémitisme de l’époque qui à mené au crime contre l’humanité dont ils ont été victimes. Ce crime à détruit certes les victimes tués mais également leurs familles et proches qui ont survécus. Albert Cohen en est un exemple frappant victime d’antisémitisme dans son enfance et touché par une grande dépression après la déportation et l’assassinat d’une grande partie de sa famille. O vous frères humains est une de ses dernières œuvres littéraire et particulièrement le dernier chapitre, dans ce testament littéraire il nous lègue une idée de compassion universelle. Pour cela nous avons d’abord relever en quoi il lègue l’idée de pitié puis l’idée d’amour vrai et enfin comment il nous invite à réfléchir sur la condition humaine.

Paragraphe 1 : idée de pitié

Albert Cohen lègue dans son testament littéraire, que représente le dernier chapitre de son œuvre, une idée de pitié.Car de a pitié peut naître l’idée de non-haine puis d’amour, il faut savoir que la pitié aide à aimer les gens une fois que l’on à calmer la haine. La notion e pitié est extrêmement importante pour calmer la haine pour Albert Cohen il semblerai que ce soit la meilleure solution en effet ont remarque l’importance de cette idée grâce à la répétition du mot pitié lui même, Albert Cohen le répète une quinzaine de fois dans le début  de son chapitre. Mais pour faire passer sa conviction de la pitié il doit toucher tout les hommes c’est pourquoi il utilise la deuxième personne du singulier « vous » de cette manière il touche le plus grand nombre de gens sans s’inclure dedans.

Paragraphe 2 : idée d’amour vrai

L’amour véritable est ce qui semble suivre la pitié dans ce que veut nous léguer Cohen, il continue sur les répétitions mais cette voici du mot amour ou également des autres mots ce rapportant au champs lexical de l’amour comme « aimés », « aime » par exemple. Mais l’amour n’est jamais simple et il reste une barrière de taille dans la tête de Cohen : la mort. Pour lui la mort est la fin d’un amour même du plus profond qui aurait duré toute une vie. L’amour est également différents entre l’amour qui dit « véritable » et « sacré » pour nos « biens-aimés » et l’amour des autres, l’amour du prochain, qui est un amour général. L’amour général est montré par Cohen par l’utilisation des expressions de « l’inconnue » ou du lointain par exemple « aimer des inconnus par milliers ou millions ». Albert Cohen utilise souvent les expansions du nom avec le nom amour « amour sacré », « amour véritable », « amour éternel » par exemple.  

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