Chapitre X La reine Margueritte De « il serait plaisant... » jusqu’à « aussi méchant qu’eux »
Analyse sectorielle : Chapitre X La reine Margueritte De « il serait plaisant... » jusqu’à « aussi méchant qu’eux ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Pierre Ravacley • 1 Mai 2021 • Analyse sectorielle • 717 Mots (3 Pages) • 680 Vues
ANALYSE LINEAIRE
Etude linéaire
Chapitre X
La reine Margueritte
De « il serait plaisant… » jusqu’à « aussi méchant qu’eux »
Intro/
Le Rouge et le Noir, sous-titré Chronique du XIXe siècle est un roman de Stendhal, publié en 1830. Ce roman compte 2 parties, la première retrace le parcours de Julien Sorel, son entrée chez les Rênal et la montée de ses ambitions séminaire. Et la seconde nous montre la vie du héros à Paris comme secrétaire de Mr de La Mole et son déchirement entre ambitions et sentiments. Ce passage est un monologue intérieur dans lequel Julien Sorel se livre à une introspection mettant en évidence ces doutes quant à son ascension sociale ainsi que son sentiment amoureux envers Mlle de la Mole.
Etude linéaire/
« Il serait plaisant qu’elle m’aimât ! » Premièrement on remarque que Julien désire être aimé par Mlle de la Mole. Il utilise le subjonctif imparfait car il est incertain de la situation. Le « ou » qu’il utilise dans la phrase suivante : « Qu’elle m’aime ou non » montre d’avantage ce vsentiment de choix qui laisse indifférent Julien.
Julien évoque également une « confidente intime une fille simple d’esprit », cette phrase pourrait évoquer Mme de Rênal avec qui il a partagé des sentiments d’amour. Il nous laisse donc croire qu’il est indifférent face au sentiments de Mathilde.
Il débute par la suite une description méliorative du marquis de Croisenois « Ce jeune homme, si poli, si doux, si brave, et qui réunit tous les avantages de naissance et de fortune dont un seul me mettrait le cœur si à l’aise ! Il en est amoureux fou, c’est-à-dire autant qu’un Parisien peut être amoureux, il doit l’épouser. » Stendhal introduit le marquis en le mettant en valeur avec une gradation : « Ce jeune homme, si poli, si doux, si brave ». Il montre donc que le marquis de Croisenois fera un idéal pour Mathilde. Stendhal rappel aussi que Julien ne provient pas d’un milieu aisé avec la phrase « qui réunit tous les avantages de naissance et de fortune dont un seul me mettrait si à l’aise ». Julien pourrait donc ressentir une certaine jalousie, car la fortune et le rang du marquis de Croisenois et un objectif que Julien veut atteindre.
« Que de lettres M. de La Mole m’as fait écrire aux deux notaires pour arranger le contrat ! Et moi qui me vois, le matin, si subalterne la plume à la main, deux heure après, ici dans le jardin. Avec ces paroles, on ressent un sentiment de de culpabilité chez Julien qui était là juste pour arranger leur contrat mais qui au final, a séduit Mlle de La Mole, il se rassure en se disant : « je itriomphe de ce jeune homme si aimable, car enfin, les préférences sont frappantes, directes. » Il pense donc de Mlle de La Mole le préfère lui contrairement au marquis en se demandant : « Peut-être aussi elle hait en lui un mari futur. ». Il se questionne sur la relation entre Mathilde et le marquis de Croisenois. « Et alors, les bontés qu’elle a pour moi, je les obtiens à titre de confident subalternes ! ». Julien pense donc qu’il reçoit des faveurs de Mathilde en tant personne de rang inférieur au dépend
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