Ces objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets
Commentaire de texte : Ces objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Germinia • 3 Décembre 2015 • Commentaire de texte • 1 219 Mots (5 Pages) • 1 864 Vues
Synthèse : Ces objets qui nous envahissent : objets cultes, culte des objets
Les objets dans la société de consommation : Voila le thème qu’aborde le corpus proposé, composé de quatre documents : le 1er est un extrait d’article philosophique de Michel Eltchaninoff intitulé « La tentation du superflu » datant de juillet-aout 2010 et paru dans Philosophie magazine. Le deuxième document est un article du journal Libération intitulé « Ils ont décidé de vivre avec 100 objets » de Marie Piquemal, datant du 16 août 2010. Le 3ème document est un article de journal s’intitulant « Cache-toi, objet ! » publié par Gilles Lipovetsky, dans L’Express le 16 avril 1998. Le dernier document est un document iconographique de Babycakes Romero, dans sa série La mort de la conversation, à Londres en 2014. A partir de ces documents, nous pourrions nous demander si les objets sont une source d’aliénation pour l’homme. Pour répondre à cette problématique, nous allons, tout d’abord parler des objets qui nous aliènent. Cependant, nous verrons que les objets peuvent nous libérer. Pour finir tout dépend du rapport que l’on établit avec l’objet.
Dans un premier temps, nous allons voir que les objets nous aliènent et plus particulièrement, c’est une aliénation par rapport aux autres. En effet, dans le document A de Michel Eltchaninoff et le document D de Babycakes Romero, on voit que l’objet nous rend dépendant, il manifeste une tendance de la société à mélanger plusieurs espaces : privé/public/professionnel et deviens alors aliénant. De plus, il est omniprésent et envahissant. On donne toujours à un objet une utilisation principale ; or ici, elle diffère.
Nous avons vu l’aliénation par rapport aux autres, désormais nous allons voir que les objets nous coupent de nous même. Dans le document A de Michel Eltchaninoff et le document B de Marie Piquemal, il est vrai que les objets sont aliénant et nous coupent de nous même car il y a un décloisonnement des espaces dû aux nouvelles technologies et qui a pour conséquence une aliénation de nous-même. On se perd soi-même, on perd notre liberté intime. De plus, l’objet est là aussi omniprésent, il est envahissant et il créée également une aliénation morale et de géolocalisation car en effet, c’est un risque très grand entre l’homme et la machine. Cette aliénation est un risque d’intégration. Par ailleurs, les objets sont comparés à une sorte de drogue qui nous rend dépendant de lui.
Nous avons parlé du fait que les objets nous coupent de nous-même, étudions alors les autres formes d’aliénation. Ici, on voit d’après le document A de Eltchaninoff, le document B de Marie Piquemal et le document D de Babycakes Romero que pour l’un, l’objet est considéré comme quelques chose qui exerce une pression sur les gens, il les fait se sentir obliger d’avoir toujours quelques choses à faire. De plus, l’objet est ici aussi comparé à une sorte de drogue qui nous aliène et nous rend dépendant de lui.
Nous avons présenté les objets qui nous aliènent. Dans un second temps, nous allons étudier que cependant, les objets peuvent nous libérer et plus précisément du fait que les objets facilitent les relations/les contacts humain(e)s. En effet, cette idée est représentative des documents A, et D de Etchaninoff. Ici, on parle de l’avantage de ne plus être seul, on palie la solitude.Cette idée montre les contacts humains que nous pouvons avoir grâce à eux.
Nous avons parlé de la faciliter des objets à établir un contact/des
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