Bac blanc français. Emigration.

Goizet Martin                                                                                 Term Ap

Bac blanc de Français

PARTIE I :

Question n°1 :

La thématique qui unit ces deux textes est l’espoir d’une vie meilleure à l’étranger et l’émigration. Dans la chanson de Jean-Jacques Goldman le voyage est encore en plein débat entre les deux interprètes. Alors que dans l'extrait du texte de Laurent Gaudé, Carmela évoque son départ depuis l’Italie vers l’Amérique tout en racontent les souvenirs.

Question n°2 :

-Dans le texte il utilise le pronom personnel (nous) tout au long du récit de voyage.  

-Le texte commence par l’expérience de la jeune fille qui va pour intégrer un groupe qui va devenir de plus en plus grand. (Ex : « des familles entières ou des gamins esseulés » ; « les miséreux d’Europe » et à leur arrivée les migrants donnent une image du monde étranger (Ex : « le monde entier » ; « le tumulte de voix et d’accents »)

-Les migrants peuvent se voir dans le regard des autres, ils se ressemblent, ils ont les mêmes gestes et réactions et ils se reconnaissent. (Ex : « comme les autres »)

-Ils se soutiennent (les migrants) (Ex : « nous nous sommes tenus la main »)

-Ils ont les mêmes sentiments : la peur avant le départ et pendant le trajet et les mêmes rêves d’espoirs à l’arrivée. Mais des fois dans le texte les deux monde s’opposent (Ex : « nous étions en Amérique et plus rien ne nous faisait peur ») ; Dans la première partie un comparatif avec plus (Ex : Plus grand ; Plus doux »)

-Texte découpé en deux : C’est le départ du voyage pour la première partie et pour la deuxième partie c’est l’arrivée. Les migrants se sentent chez eux ils s’approprient ce nouvel espace très rapidement.

Question n°3 :

-L’homme a pris une décision c’est une évidence pour lui « La vie ne m’a pas laissé le choix », et il va en assumer les conséquences il est prêt à les assumer « je te perdrai peut-être là-bas »

-Sa femme (je pense) a essayé de le convaincre dans les premières strophes mais sans succès.

-L’homme ne retient que des aspects positifs de ce départ qui représente le succès de tous les rêves « tout est neuf tout est sauvage », elle représente la liberté « libre continent sans grillage »

-Pour l’homme la vie à deux ne peut s’envisager que là-bas en Amérique : « Toi et moi ce sera là-bas ou pas ».

-Dans sa tête, il est déjà parti, c’est la raison pour laquelle le dialogue est fini ou plus possible.

PARTIE II :

Selon vous, peut-on construire son identité en restant dans sa famille, dans son pays, ou est-il nécessaire de partir ?

        Pour moi l’identité est construire à partir d’où on nait car on devient une personne jusqu’à l’âge adulte, l’identité commence par le milieu d’où l’ont vis, le pays d’où on vient, et je pense aussi a l’éducation de nos parents.

L’identité ce construit différemment si on reste dans sa famille, dans son pays ou si on part de celui-ci.

...