Analyse du poème « L’ennemi » de Charles Baudelaire
Cours : Analyse du poème « L’ennemi » de Charles Baudelaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar alanna46 • 15 Mai 2021 • Cours • 648 Mots (3 Pages) • 1 719 Vues
Analyse du poème « L’ennemi » de Charles Baudelaire
Métaphore filée = Métaphore développé sur plusieurs vers ou lignes.
V.1 ET 8 : Métaphore filée du Temps météorologique.
V1 : Baudelaire insiste sur son Spleen avec la négation ne que dans le v1 pour démontrer que sa mélancolie commence dès sa jeunesse.
Vers 2 : Dans cette tristesse, il pense retrouvée quelques moment de joie intense et d’espoir.
« Brillants soleils »
Vers 3 : Il subit plusieurs évènements, « tonerre », « pluie » ce qui référence au aléas du temps météorologique. Il n’as pas demandé ce qui lui est arrivée, cela lui tombe dessus.
Sa jeunesse est un temps révolue qu’il ne peu donc changé. Son Spleen est accentué par des hyperboles et L’Idéal est sans cesse atténué « ça et là », « bien peu de ».
La ponctuation nous montre qu’il explique sa jeunesse, impuissant et sans émotions.
Cette période est un poids pour lui.
Dans la deuxième strophe Charles Baudelaire n’est plus productif et semble dépassé par les évènements
Il se sent mort de l’intérieur comme nous pouvons le voir v5« J’ai touché l’automne des idées » L’automne est une période ou les fleurs ne fleurissent plus et finissent par mourir au fil du temps, cela fait référence à ses idées et sa personne qui disparaissent peu à peu et finissent elles aussi par mourir. La ponctuation nous montre qu’il est impuissant face a cette situation.
Tout cela le submerge comme nous pouvons le voir avec ses rimes en « aux »,v6 « râteaux » « tombeau » Il est noyé dans tout le malheur qui lui arrive. Et pour y faire face il doit employé les grands moyens et essayer de reprendre « Pelle » « râteaux » synonyme d’effort.
Qui n’auront malheureusement pas d’effet car les dégâts sont bien trop conséquent et sont donc irréparable v8« l’eau creuse des trous grands comme des tombeaux » car sa vie a été ravager par le temps ce qui le rapproche un peu plus de la mort.
Pour poursuivre nous allons voir que le poète oscille entre espoir et désespoir
Dans le premier tercet on peu constater qu’il veut sortir de cette avalanche de malheur car il reprend espoir comme on peut le voir V.9 « Fleurs nouvelles que je rêve » il aimerait accomplir ses pensées mais sont passée l’a trop amoché v10 « ce sol lavé comme une grève » cette comparaison signifie qu’aucune fleur ne pourrait correctement s’épanouir car le milieu n’est plus adapté pour elle . On remarque dans le V11 « mystique aliment qui ferait leurs vigueur ?» il emploie une phrase interrogative cela veut dire qu’il n’est pas certains de pouvoir y parvenir.
Dans le deuxième tercet il renie toute forme d’espoir et se rend compte que rien de tout cela ne sera finalement possible Dans le vers V12« O douleur ! O douleur ! » C’est deux phrases exclamatives font ressortir se sentiments de colère et de souffrance, il s’exprime directement sur toute la douleurs qu’il ressent. Il parvient à expliquer ce qui lui arrive au V12« Le temps mange la vie » comme nous avons pu le voir dans tout ce poème, le Temps à été personnifier car il souffre a cause de lui aussi bien mentalement que physiquement, il le qualifie V13 « Obsur Ennemi » et il considère donc ce Temps comme sont principale rivale.
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