Analyse Linéaire, L'Education sentimentale, Flaubert

Éducation sentimentale, Flaubert:

biographie de Flaubert : Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset, lieu-dit de la commune de Canteleu, le 8 mai 1880. Considéré, avec Victor Hugo, Stendhal, Balzac et Zola, comme l'un des plus grands romanciers français du xixe siècle. Flaubert se distingue par sa conception du métier d’écrivain et la modernité de sa poétique romanesque.

Prosateur de premier plan de la seconde moitié du xixe siècle, Gustave Flaubert a marqué la littérature universelle par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société. La force de son style se révèle dans de grands roman comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L’Éducation sentimentale (1869) ou le recueil de nouvelles trois contes(1877).

Composition :

Partie 1 : Les deux premiers paragraphe : « ce fut » à « il l’a regarda » : contexte

Partie 2 ; « Elle avait un large » à « l’air bleu » : portrait de la jeune femme

Partie 3 : « comme elle » à « sur la rivière » : attire l’attention

Partie 4 : « jamais il » à « limite » les réactions de Fred

Partie 1 :

• Commence par une phrase célèbre « ce fut comme un apparition »
• Dans la tradition chrétienne beaucoup d’apparition divine
• Flaubert désigne que c’est comme une apparition, un moment extraordinaire surprenant
• L’intensité de cette vision souligne le fait que le personnage est subjugué, souvent le cas dans les rencontres amoureuse, tous disparaît autour
• Pronom « elle » : concentre le personnage au centre, elle représente la perfection, la femme idéale
• la femme va occupé tout le champs visuel de notre protagoniste
• insistance sur le jeu de regard
• tout le passage est raconté selon le pdv de Fred ( focalisation interne)
• la premier rencontre, il fléchit les épaules : représente son embarras et sa timidité
• il ne reste pas statique, le mot regarda va enclencher la description de la femme

Partie 2 :

• le passage est purement descriptif et il commence aussi par « elle », une grande partie va porter sur ses vêtements (du haut vers le bas, retour sur son visage, personne entière)
• impression qu’il regarde un tableau, une œuvre  d’art
• les habits de la jeune femme traduisent de son milieu social, elle porte une robe clair alors qu’elle est en voyage ce qui montre qu’elle n’a pas les même préoccupation que les gents
• différence de gamme de couleur : passage précédent accumulation de couleur sombre et  ici on a des couleurs
• quelques indications de mouvements mais très peu comme un portrait figé
• le mot « palpitait » fait écho au cœur de Frédéric
• très peu d’éléments de description physique  
• il l’a contemple de profil
• de profil+fond bleu : tableau et vierge marie
• « quelque chose » est vague et souligne le fait que qu’il est à font sur la fille et qu’il oublie le reste
• on a ici un idéale féminin

Partie 3 :

• dans cette partie on revient en focalisation externe, le narrateur revient pour décrire la femme
• verbe d’action donc des déplacements, il cherche à attirer son attention de manière naturelle
• tactique pour attirer son attention sans montrer qu’il veut attirer son attention
• le narrateur s’amuse de la maladresse de notre protagoniste ( au lieu d’aller la voir, il tente tout un tas de manœuvre
• le narrateur a du recule sur la situation et la raconte de façon ironique

Partie 4 :

• tout le passage va concerné les pensées du personnages, les sentiments et les réaction de Frédérique
• cette admiration porte sur 3 points successifs « splendeur », « séduction », « finesse »

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