Victor Hugo, Traité pour la tolérance
Commentaire de texte : Victor Hugo, Traité pour la tolérance. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Omar El Mountassir • 11 Novembre 2018 • Commentaire de texte • 602 Mots (3 Pages) • 1 335 Vues
Le châtiment d’un coupable
Miséricorde divine
–Les manifestations surnaturelles sont désignés comme une émanation du pouvoir divin
–le spectre demande d’abord a don juan de se repentir l 1,23, 5 il lui délivre un ultimatum
–don juan refuse cette dernière chance qu’on lui offre à travers une double négation l 14, 5
–ces deux scenes ont donc un aspect démoralisant. elle souligne que nul ne peut se dresser contre la volonté divine , c’est paroles surnaturelles s’inscrivent dans une perspective chrétienne avec les termes « miséricorde » ligne 15, Cinq et grâce ligne 6 5 ,6
–la forme du spectre et du fantôme rappelle toute les femme séduite par les libertins comme le montre la didascalie qui ouvre l’extrait
–la faux est une allégorie de la mort rappelle que le temp s du libertin et commpté
un incorrigible libertin
–don juan se comporte en libertin en deux manières : c’est un cartésien jusqu’au bout qui défie Dieu
–ils manifestent son scepticisme quand il crie L. 6 5 ;5 , il a une démarche de doute systématique car il refuse l’existence de l’au-delà
–le mot« fantôme» n’a pas d’existence dans la pensée religieuse car Dieu envoie des anges et non des fantômes
–donjon est encore sceptique quand il frappe le spectre L. 9,10 ; 5 , de plus il défie Dieu quand il seme l’apparition de ce nommée L,4,5 ; Cinq puis il met sur un même plan « diable » L. Six et manifestation divine
–d’autre part, il refuse d’avoir peur L. Neuf, CinqCinq. 5 : la rêveur devant des force surnaturelle incite à la soumission mais Don Juan refuse de se soumettre : il n’est pas athée mais n’accepte pas le pouvoir divin, il est prêt à aller en enfer pour ne pas renier ses convictions
Comique et ambiguïté
La dérision du sacré
–le sacre est combattu par des effets burlesques , ainsi sganarelle s’exclame L.5 .6 : par définition un spectre ne marche pas : le registre burlesque consiste à mélanger le noble et le bouffon, A traité par le rire une réalité grave, c’est le cas pour sganarelle qui fait rire alors que nous on doit éprouver un effroi sacré, la scène fini de manière cocasse quand saganrelle se lamente pour la perte de ses gages
–de plus, la situation est comique car don juan crois aller à un dîner alors que c’est la statue qui va faire un festin, d’où le titre de la pièce Don Juan ou le festin de Pierre, Lapierre appelle la pierre tombale
–cette situation comique désamorce l’aspect exemplaire de la mort de Don Juan et provoque le trouble : Molière vous invite il à méditer sur les erreurs de Don Juan ou à railler l’église
une fin atypique
–le mot de la fin est confiée à sganarelle (rôle joué par Molière lui-même) : le valet rappelle les infractions aux lois humaines et divines de son maître : il était pécheurs et profanateurs, la statue a punis ce double crime comme le montre la tirade finale de sganarelle
–la compagnie du Saint-Sacrement à censurer la comédie de Molière pour inconscience en redonnant ses droits au rire, Molière refuse de laisser le dernier mot sacré
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