Thérese desqueyroux
Cours : Thérese desqueyroux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lokartua • 4 Janvier 2016 • Cours • 319 Mots (2 Pages) • 938 Vues
LA 1 : La Princesse de Clêve |
*INTRO*
I / Un être exceptionnel
a. Beauté remarquable
_Canon de beauté de l'époque du Classicisme
_Caractérisation du personnage ↗ Métonymie « beauté » X4 première caractérisation personnage
_Personnage auréolé ↗Champ lexical lumière
b. Le regard des autres
_PDV omniscient
_VS PDV interne du vidame
_X superlatif hyperbolique
II / Une influence,sa mère
a. Apparition sous les yeux de sa mère
_Ses statues ( fille, héritière, orpheline )
_Préserve de la cours
_Action mère / fille ↗ Parallélisme de construction
Elle = mère = Pronom sujet
Lui = fille = COI
b. Éducation donnée
_Théorique mais avec exemples concrets ↗ champ lexical « peinture » « montrait » « faisait voir »
_Grande attention « donné ses soins » «cultiver » « plusieurs années sans revenir à la cours »
_Originale « persuader » et non pas « convaincre » ↗ Pluriel VS Singulier = Cours VS Elles
_Préparation à sa vie future et enseignement de la vertu VS risques de la passion ↗ // construction «elle lui contait »+ COD « elle lui faisait savoir »+COD
CONSLUSION
La Princesse de Clêves apparaît comme un être d’exception mais sous influence et décalé pas rapport à la vie de la cours qui est faites d’intrigues amoureuses et de dissimulations (passage précédent ce portrait)
➡ Risque par rapport au respects des préceptes de sa mère qui sont la vertu et la fidélité. Ce risque sera important après la mort de Mme de Madame de Chartes (sa mère) qui interviendra rapidement dans l'ouvrage. « Si j'avais encore Mme de Chartes pour m'aider à me conduire »
OUVERTURE
L'école des femmes
Arnolphe prétend qu’une femme ne peut être sage et vertueuse qu’autant qu’elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse, il fait élever une orpheline, Agnès.Agnès rencontre Horace dont elle tombe amoureuse. Arnolphe qui finit par faire pitié, puni par son propre système d'éducation.
Du temps de Molière, cette pièce souleva contre lui tellement de critique qu’il se crut obligé d’y répondre par une petite comédie intitulée la Critique de L’École des Femmes.
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