Synthèse d’un corpus

Edgar Fontaine

BTS MUC 204

Culture générale

Synthèse d’un corpus

Depuis plusieurs années nous constatons que dans notre société la vitesse prédomine et a des liens directs quotidiens sur notre vie. Cependant quelques analyses laissent à prouver que la gestion du temps de chaque individu influe directement sur sa vie et fait un étroit lien avec son bonheur. Lorsque nous reprenons l'origine des civilisations nous constatons que l'ensemble des organisations se fait essentiellement sur une base de vitesse d'exécution dans l'ensemble des tâches de la vie. Cette théorie est aujourd'hui mise à mal par différents constats et analyses qui démontrent ou réfutent la mise en place de la vitesse en société.  Mais alors, en quoi la vitesse a-t-elle un impact direct sur notre vie ?

Nous verrons tout d'abord dans une première partie les constats et analyses faisant un rapport avec l'accélération du temps dans la société puis dans une seconde partie nous verrons les mouvements et actions mises en place par certaines personnes pour palier à cette accélération et ainsi se mettre en quête du bonheur ou du profit de la vie.

Comme ici présenté dans notre corpus le document 2 écrit par Jérôme Lèbre « l'accélération du temps nous rend immobiles » paru au 3 Mars 2017 dans le Monde, dégage une idée principale sur la vitesse et son impact sur notre société. Il est clairement défini dans cet essai plusieurs thèses concernant l'accélération et son impact sur nos vies. Prenants pour référents quelques philosophes et écrivains des siècles précédent le nôtre, tel que Rousseau Montesquieu ou même Sénèque Il nous est expliqué que l'ensemble des êtres humains manque aujourd'hui de temps pour effectuer l'ensemble des tâches de leur vie. Étendue dans le monde c'est impact de la vitesse et de l'accélération touche l'ensemble de nos civilisations à travers tout le continent et par conséquent l'ensemble des civilisations, que nous soyons européens asiatiques ou américain par exemple. Cet impact de la vitesse qui nous laisse croire que nous manquons de temps a été tout de même aborder par les philosophes tel que Bergson ou Heidegger Mais avec un point de vue dit de « sagesse ». Ces philosophes ne voient pas un impact direct de la vitesse ou de la lenteur mais voit plus ses conséquences comme des « immobilisations » de notre temps. Il est donc ici question de variation de vitesse mais non d'impact d'accélération et ceci varie selon les choix de chacun. La société de nos jours laisse paraître certaines accélérations tels que la vitesse des e-mails par exemple mais également de ralentissement tels que les séries télévisées qui nous font perdre un temps précieux. Chacun court à la vitesse mais d'autres oublient que certaines activités leur font ralentir leur propre temps. En étroit lien avec l'essai de Jean-Jacques Rousseau qui stipule la vitesse dans l'éducation.

Selon ce dit document numéro 3 écrit par Jean-Jacques Rousseau intitulé « Émile ou de l'éducation » paru en 1762, Comme évoqué un peu différemment dans le document précédent n° 2 écrit par Jérôme Lèbre l'être humain se plaint aujourd'hui de la rapidité du temps es-tu fait que nous n'ayons pas assez de temps pour réaliser l'ensemble des choses que nous voulons faire l'Homme est très matérialiste et cours donc pour assouvir ses envies. Selon cet écrivain l'ensemble des humains de différentes civilisations cours après le temps mm afin d'assouvir leurs besoins ils disent ne pas avoir assez de temps mais cependant ces derniers n’en ont aucune notion. Pour en faire donc un lien l'essai de Jean-Jacques Rousseau ainsi que celui de Jérôme Lèbre montre que l'homme se plaint dans manque de temps d'une accélération de la vie mais non mais rien en place pour en contrer ses conséquences. L'homme n'est donc pas sage mais plaintif de cette perte de temps donc il est partiellement conscient.

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