Suite alternative à la Princesse de Cléves

Suite alternative au roman

La princesse de Clèves même sous la pression des constantes questions du mari, ne cède pas et parvient à fournir une excuse justifiant sa volonté de s’isoler de la cour.

Les jours passent à Coulommiers et la passion de Mme Clèves pour le Duc de Nemours se fait de plus en plus forte.

Un soir, particulièrement chaud, elle décide de laisser sa fenêtre ouverte afin de profiter du peu de brise circulant à l’extérieur quand le Duc de Nemours, qui continuer d’utiliser son séjour chez sa sœur afin de surveiller la Princesse, décide de rentrer dans la chambre.

Il réveille la Princesse et il lui fait part de ses sentiments, après un moment de choc et d’hésitation elle fait de même.

Prit par un moment de passion le Duc essaye d’embrasser la Princesse mais elle recule face à ce geste d’intense amour, non parce qu’elle ne partageait pas la passion du Duc mais parce qu’elle avait entendu la voix de son mari s’approchant de la chambre.

Avant de prendre la fuite, le Duc annonce à la Princesse son départ pour la cour et la supplie de le rejoindre au plus vite.

La Princesse aussitôt fait part à son mari de son envie de repartir à la cour ce que le mari trouve tout d'abord étrange vu sa volonté initiale de s'isoler mais qui ensuite accepte voyant l’insistance de sa femme.

La princesse part le matin même à la cour laissant le prince à Coulommiers mais partant, sans le savoir, avec un espion travaillant pour le prince. Même si le Prince avait accepté son départ à la cour il n'avait pas pour autant arrêté de la soupçonner.

Le séjour à la cour de la Princesse se passe à merveille : entre les après-midis passé avec la dauphine à parler des dernières nouvelles de la cour et les soir passé avec le Duc à se promener discrètement dans les jardins ; la Princesse se sentait renaître.

Pourtant la promesse faite à sa mère n'arrêtait pas de la tourmenté, malgré sa joie immense elle avait continuellement un poids sur le cœur. Un poids qui lui rappelait constamment que malgré sa passion pour le Duc, elle restait la femme du Prince de Clèves.

Ce dernier recevait chaque jour un compte rendu de la part de son espion et même si la discrétion de la Princesse était notable, l'espion était parvenu à découvrir son grand secret. Cela conduit le Prince à revenir à la cour.

Le prince arrive à la cour avec l’intention d’éclaircir cette situation parce que malgré les informations lui confiées par son espion il ne croyait point la Princesse capable de cela.

Après une longue dispute avec la Princesse, elle céda, avouant cette tromperie et le suppliant de la pardonner. Pourtant après cet aveu, le prince sous l’emprise d’un choc profond avait une seule pensée : la vengeance.

Il ne voulait pas se venger de la Princesse car, même si celle si l’avait fait souffrir, il l’aimait encore, il voulait se venger du Duc de Nemours car il le retenait comme seul coupable de cet acte.

Ainsi une fois sorti de la chambre il la fermât à clé, laissant la Princesse seule, détruite, à genoux par terre, ayant conscience du danger que le Duc de Nemours courait.

Une culpabilité profonde envahissait son cœur, non seulement

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