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Rédiger une question de corpus

Commentaire de texte : Rédiger une question de corpus. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  16 Juin 2019  •  Commentaire de texte  •  665 Mots (3 Pages)  •  574 Vues

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Rédiger une question de corpus : décrire l'amplitude (l'intensité) et la variété des types d'écritures employées par Victor Hugo pour combattre l'injustice de la peine de mort.

Ce corpus est constitué de trois textes portant tous sur un combat contre la peine de mort. Ses trois textes sont de Victor Hugo, sortant du meme récit. Ils défendent la meme idée sous un degrés qui les opposent complètement. Il s'agira de montrer ici comment ces différentes écriture procèdent pour dénoncer la peine de mort.

Nous distinguons ici trois textes complètement différents en terme d'écriture. On remarquera trois groupes complètement opposé. Dans le premier texte, le chapitre 1, pour argumenter son combat contre la peine de mort, Victor Hugo utilisera plutot un rythme machinal, on passe du reve à la réalité tandis que le chapitre 8 sera écrit de manière beaucoup plus sévère, on y retrouvera la cruauté du temps qui passe face à l'impuissance d'un homme, un texte beaucoup plus oppressant que le précédant ainsi le dernier texte le chapitre 38 sera bien plus différents des deux précédant, on y retrouvera l'ame d'un enfant dans un corps d'homme désemparé. Un texte beaucoup plus doux et calme qui suffira à apaiser le prisonnier rien que pour une dizaine de seconde.

Afin d'argumenter en défaveur de la peine de mort , ces trois textes on leur propres technique, pour le texte 1 une tonalité assez grave est présente dans le texte d'ou la présence d'un registre lyrique totalement assumé, le texte est écrit à la première persone du singulier afin que tout lecteur s'identifie a ce condamné privé de sa liberté, "j'habite avec cette pensée" qui suciterai donc de la compassion de la part du lecteur pour le condamné en se sentant à sa place, un point de vue interne qui offre donc toutes sa force à l'oeuvre. Le registre du pathétique est également bien mis en avant dans ce texte, une souffrance psychologique de la solitude "toujours seul". Le texte numéro deux, le chapitre cinq  change de tonalité et monte d'un cran beaucoup sévère que le texte précédant, un rhytme beaucoup plus machinal. Ce texte est un froid décompte des jours passées, effectuer et rédiger dans le plus pur style administratif, à l'aide de phrase nominales et d'un vocabulaire technique. "Là, classement, numérotage, enregistrement" dans ce texte la justice donne une impression de fonctionner comme une machine face à des robots. L'atrocité de l'ironie nait du contraste entre la description de cette mécanique et ce qui est en jeu : la programmation d'une mise à mort. Le texte numéro trois le chapitre trente-trois, change totalement sa manière d'écrire, on sors totalement de cette ambiance oppressante et on se retrouve dans une ambiance douce, calme, et bienveillante.  Avec ce dernier texte l'auteur touche un point sensible chez le lecteur puiqu'il se retrouve non plus face à un meurtrier mais face à un enfant priver de sa liberté. Cette alternance d'épisodes narratifs crée un effet de contrast , entre les trois textes, le passée et le présent s'entremele et certains souvenir en viennent à etre retranscrits au présent de narration "maintenant elle s'appuie sur mon bras". Une opposition entre le bonheur total et le malheur absolu se crée alors entre les trois textes. Pour conclure ce corpus de trois textes veux nous montrer que la peine de mort n'est pas une solution, sous ses différentes manières d'écriture, on a pu remarquer qu'elles sont toutes contre la peine de mort. Ici Victor Hugo dénonce la peine de mort en montrant ce coté machinal qu'a la justice pour les prisonniers, en montrant la torture psychologique dont sont victimes les condamné puisqu'ils savent tous qu'ils passeront par la mort, à n'importe quel moment. On ressent la sincérité et l'innocence d'un enfant et un détenu reste avant tout un humain comme un autre. Il ne mérite donc pas de subir toutes ces tortures psychologique jusqu'a e faire une saturation de mémoire en se retrouvant à ne penser qu'a la mort qui approche.

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