Presentation le rouge et le noir

Le rouge et le noir

                                                                  Stendhal

1. Commencer la lecture au chapitre VI, à la scène de rencontre entre Julien et Madame de rénal comment vous paraissent les personnages ? vous semble-t-il attachant ? qu'est ce que cela vous fait supposer sur la suite du roman ?  à quelle scène de film cette scène de rencontre vous fait-elle penser ?

Dans la scène de la rencontre entre Julien et Madame de rénal, les personnages semblent être tombés amoureux l'un de l'autre. Bien que Mme de Rénal ait été mariée et ait eu des enfants, elle a toujours l'air jeune en effet à l'époque du rouge et le noir les femmes étaient mariées très jeunes. C’est une femme distinguée au tempérament plein, et aussi un peu rêveuse. «  l'esprit un peu romanesque de Madame de rénal eu d'abord l'idée que ce pouvait être une jeune fille distinguée » Madame de rénal nous paraît donc attachante.

Julien ne vient pas de la même classe sociale que Madame de rénal il est moins âgé qu'elle me paraît un peu moins attachant, il a l'air fragile tellement que Madame de rénal eu pitié de lui «  eu pitié de cette pauvre créature » il a une apparence féminine «  la beauté du teint les grands yeux noirs de Julien et ses jolis cheveux » Il a quand même l'air un peu hypocrite par-delà son attitude même s'il refuse de battre les enfants et qu'il parai intelligent. Cette situation me fais supposer que dans la suite du roman Madame de rénal et                    Julien vont devenir amants même si elle est mariée et que cela peut causer des problèmes à Julien. La rencontre entre Madame de rénal et Julien  me fait penser à Juliette Roméo car tout d'abord ils ont eu un coup de foudre comme dans Roméo et Juliette lors du bal et que leur amour est interdit car Madame de rénal est marié.

1. lisez ensuite le chapitre IX . quelles sont les sensations les sentiments de chacun des personnages? que pensez-vous du geste de Julien ? auriez-vous fait pareil ?

Julien apparait stressé de prendre la main de Madame de rénal et considère ça comme une épreuve cela peut nous faire douter de l'amour qui porte réellement à Madame de rênal . Madame de rénal elle semble troublé par l'attitude de Julien «  la voix de Madame de rênal devient tremblante » lorsqu'il parvient à prendre sa main elle éprouve du bonheur et du romantisme. l'amie de Madame de rénal qui se doute de l'amour entre Julien et Madame de rênal désapprouve cette relation. Le geste de Julien à lorsqu'il force pour regarder la main de Madame de rênal et un geste violent et Paris illégitime car il utilise pour réussir son objectif et non pour faire le premier pas.

personnellement je n'aurai pas fait ce geste là car je trouve cela très impoli et très hypocrite envers son employeur car il est le mari De Madame De renal .

1. Reprenez la lecture depuis le début et établissez une fiche personnage pour ces 2 protagonistes

Julien Sorel :  c’est Jeune homme intelligent, beau et ambitieux, il naît à Verrières, il est Fils d’un charpentier, méprisé par son père et ses frères pour sa faiblesse physique « sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés » et son goût des livres, il est passionné  par Napoléon. Le curé du village, lui enseigne le latin, ce qui lui permet de devenir précepteur des enfants du maire de Verrières, M. de Rénal. Il est à la fois domestique, et en ascension vers un statut de clerc.« C’était un petit jeune homme de dix-huit à dix-neuf ans, faible en apparence, avec des traits irréguliers, mais délicats, et un nez aquilin. De grands yeux noirs, qui, dans les moments tranquilles, annonçaient de la réflexion et du feu, étaient animés en cet instant de l’expression de la haine la plus féroce. Des cheveux châtain foncé, plantés fort bas, lui donnaient un petit front, et dans les moments de colère, un air méchant. Parmi les innombrables variétés de la physionomie humaine, il n’en est peut-être point qui se soit distinguée par une spécialité plus saisissante. Une taille svelte et bien prise annonçait plus de légèreté que de vigueur. Dès sa première jeunesse, son air extrêmement pensif et sa grande pâleur avaient d onné l’idée à son père qu’il ne vivrait pas, ou qu’il vivrait pour être une charge à sa famille. Objet des mépris de tous à maison, il haïssait ses frères et son père ; dans les jeux du dimanche, sur la place publique, il était toujours battu. »

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