Portrait d'Arrias des Caracteres / La Bruyère

Expression linéaire

Texte 1: Arrias

Présentation oeuvre et auteur:

I) Contexte historique:

1) Le siècle de Louis XIV:

À cette époque, c’est un régime de Monarchie Absoluequi est en place. Le Pouvoir s’installe à Versaille

Etre à Versaille fixe un lieu pour la cour et montre la puissance de la France vise à vie de l’Europe. De plus le roi “contrôle” les grands seigneurs plus facilement. Ils avait des divertissement et des vies modène et quelque tache administrative.

Louis XIV délègue peu, il a confiance qu’en 2 personne. Il y a Colbert pour les finances et Louvois pour la guerre.

2) L’Ordre social sous l’Ancien Régime:

La Noblesse et le Clergé vive à la cour, alors que le Tiers-État vie dans la ville. Il y a 2 noblesse:

- La noblesse de robe -> est la bourgeoisie qui achète des taches administratifs.

- La noblesse d’épée ->héréditaire

3) Versaille ou la Théâtralisation du Pouvoir:

Exemple: La mise en scène du réveil du roi = hypocrisie

II) Contexte Littéraire:

1) L’influence du Mouvement Baroque:

Le mouvement baroque dure de la fin du XVIe siècle au début du XVIIe siècle.

Il est define par une vision instable du monde avec des representation de la mort et de l’exubérence, des contrastes, des excès, des hyperbowl.

La Bruyère a un therme qui est la vanité. Et le therme du théâtrum mundi.

2) L’oeuvre du classisime:

Le mouvement du classisime est de la 2e moitié du XVIIe siècle avec des règles et du code pour évité les excès du baroque. But = Idéal moral de l’honnete homme. Maîtriser sont caractère et ses passions.

Idéal par les arts avec un ideal esthétique.

Des forms carré, les excès du language, des règles, des inspirations de l’antiquité.

3) La doctrine classique “plaire et instruire”

Un moraliste critique le comportement: il conseil pour aide le comportement.

Corrigé le caractère avec l’écriture.

III) Les Caractères:

1) L’oeuvre unique d’un homme qui a bien connu la cour.

La Bruyère était un bourgeoie, avocat, il prend une charge à la cour qui lui permet de devenir un noble. Il connaît assez bien les grands de la cour pour les décrire et écrire dessus.

Il a fait qu’une oeuvre édité 9 fois. Il renter dans l’académie française.

2) Oeuvre sans cesse retravaillé.

Les caractères ou les moeurs de ce siècle. Le titre: “Les caractère” est inspiré des “Caractère de Théophraste”

3) Un recueil de fragment.

Il y a des reflexions discontinue, brève = remarque qui n’ont pas toujour la même forme. La forme la plus présente est le portrait, des maximes et des reflexions longues et des analogies.

Présentation du texte:

Introduction:

Dans cette oeuvre, La Bruyère fait des remarques sur la cour et sur ces moeurs.

Le livre 5 s’intitule: « De la Société et de la Conversation ».

La remarque 9 fait le portrait d’Arrias, un prétentieux qui hésite pas à mentir, un défaut qui l’a condamné dans les maximes précédentes.

La remarque 9 est constitué de 2 parties, d’abord une représentation général du portrait d’Arrias Ligne 1 et 2, puis une mise en scène du personnage dans une anecdote satirique de la ligne 3 à la fin de la remarque.

Cette mise en scène comprend 3 moment clés:

- L’entré en scène d’Arrias de : « Arrias à tout lu » à « il en rit le premier jusqu’à éclater »

- Une parole mensongère de « quelqu’un se hasarde » à « et m’a caché aucune circonstance. » »

- Le coup de théâtre final de : « il reprenait le fil » à « fraîchement de son ambassade. » »

Problématique:

En quoi la satire d’Arrias remette t-elle en question l’idéal de l’honnête homme?

I. Les grandes lignes du portrait d’Arrias: Un vantard importune l.1 à 3

-Le nom Arrias est le nom d’un des généraux d’Alexandre Legrand. C’est pour montré qu’il se croit puissant.

-Le portrait général du personnage, est immédiatement marqué par l’excès, l’exagération avec un parrallélisme : Arrias a tout vu, a tout lu -> Prétention personnel qui revendique un savoir livresque et empirique.

- Néanmoins, le savoir revendiqué par Arrias paraît immédiatement, non seulement exagéré, mais aussi mensonger, grâce à la syntaxe de La Bruyère avec 3 justaposé avec une asyndète qui oblige le lecteur a être actif est qui fait ressortir l’opposition entre les 2 première justaposé et la dernière.

“Il veut le persuader ainsi” l.1

-Le verbe persuader est un verbe de volonté qui sert de modalisateur. Le verbe persuader évoque non pas la réalité mais la perseption de la réalité (persuader = fait refférence au sentiment, cherche a séduire les autres plus qu’a leur raison.

- Le même procédé est repris juste après, avec la rupture entre la première proposition “c’est un homme universel” l.1, qui apparaît comme une hyperbowl et un savoir illimité.

Et la seconde “et se donne pour tel” l.1-2

-Se donne, est un verbe pronominal -> se donner insiste sur l’idée

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