Pauca Mea , Livre 4 poème 3

3 ans plus tard (en 1846) VH est toujours « terrassé » par la mort de sa fille. Ici 3 aspects se dégagent particulièrement de ce texte. Dieu, sa souffrance, et Léopoldine.

Lorsqu’il parle de Dieu il fait référence à Adam en disant qu’il est banni du paradis terrestre. Il dit que Dieux est « Jaloux » car il lui a pris sa fille. Il remet donc en cause la perfection de dieu, car il dit qu’il n’ait pas parfait, donc il blasphème. « O Dieu sombre d’un monde obscure ».

Il est tellement en colère contre Dieu, qu’il s’adresse directement à lui à travers des tutoiements « Pourquoi m’as-tu pris la lumière que j’avais parmi les vivants ? ». Des apostrophes « Ô Dieu ». Et il utilise des conditions à Dieu tel que « S’il veut que je travaille encore, il n’avait que me la laisser ». Car les poètes se considéraient prophètes, des élues de dieu pour aider le peuple. Il estime que Dieu considère les Hommes comme des pantins. L50 .

Dans ce poème VH s’attarde longuement sur la souffrance qu’il ressent.

La comparaison entre la mort qu’il ressentis lors de la mort de sa mère « Je cherche… un autre ange qui s’est enfui ». « Et que je souffre comme père, Moi qui souffris tant comme enfant. ». Il a donc souffert dans sa jeunesse, et maintenant il souffrira le reste de sa vie= pessimisme.

Il souhaite sa mère « Il est temps que je me repose ». « Que des ténèbres où l’ont dors ». Il aurait préféré abandonner son rôle d’écrivains et vivre la vie que lui aurait choisi. « Suivre, heureux, un étroit chemin -, et n’être qu’un homme qui passe, tenant son enfant par la main. ».

Enfin, le 3e thèmes de ce poème est Léopoldine. Déjà son nom est devenu un tabou vu qu’il ne l’a pas prononcé une seule foi. Il la décrit comme son ancien « bonheur » « la lumière » « c’était le bonheur de ma vie De voir ses yeux me regarder ».

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