Passeport, le retour du loup
Dissertation : Passeport, le retour du loup. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nruthmichelle • 3 Décembre 2018 • Dissertation • 415 Mots (2 Pages) • 497 Vues
Présentement en France, le retour du loup(1992) a soulevé plusieurs confrontations et plusieurs discours dont le faux procès de ce dernier par GENEVIÈVE CARBONE ethnologue , qui a eu lieu le 27 mars 2017. Chaque individu s’est fait une image de ce dernier selon qu’elle soit bonne ou mauvaise et chacun a son avis le concernant. Pour la plupart, le loup a plutôt une image diabolique. En effet, est-ce une raison valable pour que l’homme puisse décider de le prélever? Ainsi, par les propos de GENEVIÈVE CARBONE, nous aurons une réponse plus clair à cette question.
Il est plutôt difficile de l’admettre mais chaque espèce a un rôle spécifique à jouer. GENEVIÈVE CARBONE defond l’idée selon laquelle le loup mérite sa place comme les autres espèce. Pour soutenir sa thèse, elle utilise plusieurs arguments. D’abord, il fait parti de l’écologie. En effet il tient le rôle de prédateur naturel. Le prélever reviendrait donc à annuler une main d’œuvre naturelle. Son travail ne sera plus fait conséquence il y aura une grande quantité d’ongliers sauvage. Son travail est indispensable au milieu naturel, le prélever reviendrait donc à désorganiser une chaîne écologique.
En suite, l’homme est responsable des autres espèces en temps qu’être conscient d’être conscient. Il sait qu’il occupe plus de place qu’il ne devrait, il est celui qui polu l’atmosphère alors pourquoi s’étonner quand les autres espèces remontent dans son milieu? GENEVIÈVE CARBONE dit que le loup occupe un territoire allons de 300 à 400 km et que c’est l’homme qui va vers lui en réalité. Alors s’il est un problème sociétal aujourd’hui, c’est bien l’homme qui est à l’origine de cela.
En fin, l’homme a la capacité de tuer mais il n’a pas la capacité d’en créer. Si on décide de le prélever c’est qu’en réalité on répond juste à un caprice humain. Espèce complexe comme l’homme, il est difficile de faire la part de chose entre l’espèce biologique et ce que nous y mettons dessus. Il faudrait donc, dit GENEVIÈVE CARBONE, essayer de laisser fonctionner le milieu indépendamment de nos choix permanent.
En définitive, GENEVIÈVE defond l’idée selon laquelle le loup mérite sa place sur terre. Pour plusieurs raisons dont l’écologie, la conscience de l’homme et son incapacité à créer une espèce. La vie en communauté implique des contraintes. Pour permettre une bonne entente entre tous, chacun possède une place bien définie dans la hiérarchie. Par conséquent, l’homme doit préparer les zones potentielles de prédation pour une meilleure cohabitation avec ce dernier.
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